Lapremière victime a enregistré son témoignage par video, de sorte à ne pas devoir se rendre à la cour. Dans celui-ci, elle raconte comment elle a rencontré Benjamin Mendy et ce qu’il s’est passé entre eux. Tout a commencé en 2017 à Barcelone quand la victime a fait la connaissance de Benjamin Mendy et ses amis. Là, elle échange
Déjà plus de deux ans que l'affaire dite du JeremstarGate a éclaté. Le blogueur Jeremstar, de son vrai nom Jérémy Gisclon, a été éclaboussé par un scandale touchant son ami Pascal Cardonna. Le quinquagénaire, cadre chez France Bleu à l'époque, était accusé par plusieurs jeunes hommes d'harcèlement sexuel, entre autres. Aujourd'hui, alors qu'elle semblait au point mort, l'affaire reprend. En janvier 2018, le JeremstarGate éclatait. Plus de deux ans plus tard, l'affaire connait un nouveau rebondissement. D'après les informations de Starmag, une victime présumée de Pascal Cardonna alias Babybel, a été convoquée par la police de Cannes. Le jeune Samy, mineur au moment des faits, livrera prochainement son témoignage. C'est à la demande du procureur de Nîmes, en charge de l'affaire, le 17 novembre prochain, que le jeune homme, aujourd'hui âgé de 18 ans, s'exprimera. En mai 2020, il avait déjà pris la parole, sur les réseaux sociaux. Dans une vidéo partagée sur YouTube, Samy livrait un témoignage dans lequel il racontait que Pascal Cardonna lui aurait fait des avances. "J'ai reçu des messages à caractère sexuel. Il voulait faire du sexe avec moi. Il m'a adressé des messages privés sur Snapchat en disant qu'il voulait me la sucer. J'avais 15 ans au moment des faits, lance Samy dans cette vidéo. J'ai prévenu Jeremstar mais il a toujours nié être au courant des agissements de son ami Pascal Cardonna." Pascal Cardonna "C'est du grand n'importe quoi !" Alors qu'il se faisait discret depuis que le scandale a éclaté, Pascal Cardonna alias Babybel a réagi à ces nouvelles informations auprès de nos confrères de Starmag. Il assure ainsi qu'il n'est "pas au courant de cette audition" et dément formellement les accusations du jeune Samy. "De mon côté, tout est réglé, j'attends qu'un procès se tienne et que tout soit terminé", lance-t-il, précisant qu'entre lui et Samy, il ne s'est "rien passé". "Je ne comprends pas pourquoi il est auditionné dans le cadre de cette affaire, c'est du grand n'importe quoi, poursuit Pascal Cardonna. J'attends toujours qu'un juge d'instruction soit nommé. J'ai bien été auditionné de mon côté mais rien n'a avancé." Et de préciser que "deux précédentes plaintes ont été retirées car les témoins ont été manipulés". "C'est un dossier tentaculaire ! En attendant, on a n**** ma vie et celle de Jeremstar !", conclut-il alors. Pour rappel, Pascal Cardonna est visé par plusieurs plaintes pour harcèlement sexuel sur mineur, corruption de mineur et recours à la prostitution de mineurs. Plus encore, selon les témoignages, ce dernier se serait servi de sa proximité avec Jérémy Gisclon Jeremstar pour attirer des jeunes gens chez lui. Deux ans après la révélation de cette affaire, Jeremstar est visé par une autre enquête pour harcèlement moral, travail dissimulé et violences. Rappelons que Pascal Cardonna reste présumé innocent des faits qui lui sont reprochés jusqu'à la clôture finale du dossier pénal.
publiéle 24 août 2022 à 10h01. Le complice présumé de l’assassinat d’un réfugié afghan le 14 août dans le quartier Europe à Colmar (Haut-Rhin) a à son tour été interpellé dans la
Quatrième de couverture J'avais 10 ans à Bergen-Belsen L'horreur qu'il a vécue enfant hante toujours ses nuits. Sa vie. À près de 90 ans, Léon Placek n'a pas oublié ce qu'il a subi pendant la Seconde Guerre mondiale. L'étoile jaune, la dénonciation, le commissariat de police de son quartier, à Paris, puis l'internement à Drancy et le départ en train vers l'inconnu, jusqu'à l'arrivée au camp de Bergen-Belsen. Le choc de la faim, du froid, la mort côtoyée à chaque instant, la torture qui porte un autre nom... Et enfin la Libération, mais accompagnée de tant d'incertitudes...Ce livre raconte l'histoire de ce jeune garçon et de sa famille confrontés à la législation promulguée en 1941, qui exclut de la communauté nationale tous ceux désormais fichés et considérés comme ennemis ». Léon Placek a dès lors connu le pire, jusqu'au témoigne aujourd'hui avec une infinie sensibilité et partage ses réflexions sur l'humanité, en se confiant à Philippe Legrand. Son récit, intime et bouleversant, est plus qu'une leçon de vie c'est un parcours unique pour mieux comprendre la force des hommes et des femmes lorsque tout semble perdu. Une incursion dans le temps qui trouve tout son sens à notre époque, de nouveau plongée dans la tourmente et confrontée au retour des idées Léon Placek est l'un des derniers témoins de ce que furent les camps de concentration durant la Seconde Guerre mondiale. Philippe Legrand est journaliste et auteur. Il a notamment publié Opus Dei. Confidences inédites avec Monseigneur de Rochebrune au cherche midi. L'histoire et les entretiens sont ses deux passions.
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Javais 10 ans à Bergen-Belsen. L'horreur qu'il a vécue enfant hante toujours ses nuits. Sa vie. À près de 90 ans, Léon Placek n'a pas oublié ce qu'il a subi pendant la Seconde Guerre mondiale. L'étoile jaune, la dénonciation, le commissariat de police de son quartier, à Paris, puis l'internement à Drancy et le départ en train vers l Quand l’école devient un champs de mine. Pour GAEL, une victime, une repentie et une maman inquiète pansent leurs plaies et montrent à quel point une situation de harcèlement peut marquer des vies. À jamais. Nathalie nous livre son témoignage. À 54 ans, elle revient sur le parcours scolaire de son fils témoignage de Nathalie, 54 ans “Je sentais que quelque chose n’allait pas. Bram était nerveux avant d’aller à l’école. Ses points n’étaient plus aussi bons. Une fois, c’était son sac de sport qui avait disparu. Le lendemain, on retrouvait sa boîte à tartines cassée pour la énième fois. Quand vous réunissez toutes les pièces du puzzle, vous réalisez que votre fils est victime d’intimidation. Et, forcément, ça vous met en colère. Je n’ai jamais douté de l’histoire de Bram ni minimisé ce qu’il était en train de vivre. Dans un premier temps, je lui ai toutefois dit d’être plus fort et de se défendre. Je n’ai jamais été victime de ce type d’intimidation moi-même. Je ne connaissais donc pas le sentiment qu’on ressent lorsqu’on est harcelé par les mêmes personnes jour après jour.“Je n’ai pas immédiatement compris à quel point il se sentait mal à l’école. Si j’avais eu les connaissances que j’ai maintenant, j’aurais probablement réagi autrement.” Ma première réaction a donc été de lui dire de ne pas se laisser faire. En tant que parent, il n’est pas facile de gérer cette situation. C’est quoi, le harcèlement ? En quoi est-ce différent d’une simple moquerie ? Je n’ai pas immédiatement compris à quel point il se sentait mal à l’école. Si j’avais eu les connaissances que j’ai maintenant, j’aurais probablement réagi autrement. Après un certain temps, comme la situation ne s’arrangeait pas, je suis allée à l’école de Bram sans le lui dire. Bram est un peu spécial, m’a dit son titulaire quand j’ai raconté mon histoire. C’est peut-être un peu de sa faute. » Aucun enfant ne demande à être victime d’intimidation. Or, je sentais que l’école mettait en doute la gravité de la situation. Et donc aussi le ressenti de mon fils. J’ai suggéré que le problème fasse l’objet d’une discussion en classe, mais ma proposition a été rejetée. Je pense que l’école avait peur que sa réputation soit mise en déclic En troisième année, les harceleurs sont allés encore plus loin. Un soir, Bram est rentré à la maison et m’a montré un message qu’il avait reçu sur son téléphone portable. J’ai consciemment oublié le contenu exact de ce SMS, mais c’était à la fois violent et menaçant. Comme je craignais que la direction n’aille une nouvelle fois pas dans mon sens, je suis allée porter plainte à la police. Là, ils ont appelé le numéro. Au bout du fil, c’était un copain d’un des harceleurs de mon fils. Il était bien sûr complètement stupéfait d’avoir affaire à la police. Après avoir porté plainte, j’ai décidé de retourner à l’école. Il fallait qu’elle fasse partie de la solution. Heureusement, cette fois, elle a pris la souffrance de Bram au sérieux. Elle a posé un cadre. Avec l’appel de la police, cela a visiblement provoqué un déclic chez les petits harceleurs.“Il a 24 ans aujourd’hui, mais je réalise qu’il n’a pas complètement encaissé le choc. Face à des situations inédites, il lui arrive de manquer de confiance.” Depuis cet épisode, Bram a repris confiance en lui. Ça s’est fait petit à petit, étape par étape. Il a 24 ans aujourd’hui, mais je réalise qu’il n’a pas complètement encaissé le choc. Face à des situations inédites, il lui arrive de manquer de confiance. Malgré ça, il a beaucoup d’amis et s’est complètement épanoui. Récemment, ma fille, qui est maintenant en cinquième primaire dans la même école, a commencé à parler de deux “ringardes” de sa classe. Face à cette situation, Bram a assez mal réagi. De notre côté, nous ne tolérerons jamais aucune forme de harcèlement chez nous. Si nous remarquions que ma fille s’en prenait à d’autres, je suis convaincue que Bram la remettrait à sa place. Et vite. »+ DE TÉMOIGNAGES Témoignage J’ai tout plaqué pour déménager en Suède » J’ai testé une journée dans la peau d’une bénévole » Témoignages ces patients que les médecins n’oublieront jamais J’ai vaincu ma timidité en vivant comme une extravertie pendant un an » BTJh.
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  • livrer son témoignage à la police