Actuellement, la Police recherche des suspects Ă la suite de la publication dâune vidĂ©o du soi-disant tĂ©moignage dâune inconnue concernant cette Force, et qui avait Ă©tĂ© diffusĂ©e Ă travers les rĂ©seaux sociaux. En rĂ©alitĂ©, lâon soupçonne quâil sâagissait dâun faux-tĂ©moignage sur les propos de cette mĂšre de famille que nous voyons sur la photo. Elle aurait dĂ©noncĂ© les agissements supposĂ©s de quelques agents de police envers sa propre fille. DâaprĂšs son affirmation, sa fille Ă©tait sur le point dâaccoucher. Trois inconnus avaient alors volontairement conduite la concernĂ©e Ă la maternitĂ©. Mais en cours de chemin, la Police aurait, selon le mĂȘme tĂ©moignage, arrĂȘtĂ© les trois accompagnateurs de sa fille. Par la suite, les Forces de lâordre les auraient embarquĂ©s immĂ©diatement vers un poste de police pour les y placer en garde Ă vue. Et quâon ne leur rendra la libertĂ© sous peine dâun paiement dâune caution de 20 000 la vĂ©ritĂ© a finalement Ă©clatĂ© Ă la face de la Police dĂšs lors quâelle a ouvert une enquĂȘte sur cette affaire. En effet, lâĂ©poux de la parturiente a catĂ©goriquement niĂ© connaĂźtre cette inconnue, câest-Ă -dire celle qui a tĂ©moignĂ© sur cette vidĂ©o. De plus, cette derniĂšre est loin dâĂȘtre sa belle-mĂšre. Mais il y a pire. Les faits relatĂ©s par cette inconnue sur cette vidĂ©o nâont jamais existĂ©. Et comme ultime preuve de la supercherie et le mensonge de la femme mise en cause, la Police argue que personne nâa Ă©tĂ© placĂ© en dĂ©tention policiĂšre au commissariat du 7e Arrondissement. Les images montrant la cellule de dĂ©tention ou violon » pratiquement vide, et qui ont Ă©tĂ© enregistrĂ©es au moment des faits par les camĂ©ras de surveillance dudit commissariat, lâattestent. Face Ă cette situation, les hauts responsables au sein de la Police ont promis quâils ne croiseront pas les bras. Tous ceux qui ont Ă©tĂ© impliquĂ©s, de loin ou de prĂšs, dans la diffusion de ce canular destinĂ© Ă blĂąmer uniquement la Police sont actuellement recherchĂ©s. Elle reconnaĂźt que les citoyens ont le droit de dĂ©noncer tout ce quâon peut considĂ©rer comme de lâarbitraire de la part des Forces de lâordre. Mais de lĂ Ă les discrĂ©diter ouvertement pour le plaisir de diffamer, cela est intolĂ©rable, selon les hauts responsables au sein de cette Force. Franck R
Lofficiant, le pĂšre Jacques Hamel, 86 ans, avait Ă©tĂ© Ă©gorgĂ© par les deux assaillants avant que ceux-ci ne soient abattus par la police Ă l'issue de la prise d'otages. PrĂšs d'un an jourDepuis le lancement du programme AĂźnĂ©-AvisĂ©, en 2010, plus de 60 000 personnes ont assistĂ© aux sĂ©ances dâinformation. Sur cette page, des animateurs bĂ©nĂ©voles et professionnels livrent des tĂ©moignages sur le programme et sa pertinence pour les personnes aĂźnĂ©es. Tous les tĂ©moignages Karine Bergeron, RĂ©gie intermunicipale de police Roussillon, agente aux relations communautaires et mĂ©diatiques Depuis plusieurs annĂ©es, la RĂ©gie intermunicipale de police Roussillon dĂ©ploie des efforts pour traiter des questions relatives aux personnes aĂźnĂ©es. Notre prĂ©cieuse collaboration avec la FADOQ dans le cadre de lâanimation du programme AĂźnĂ©-AisĂ© nous permet de nous rapprocher des personnes aĂźnĂ©es qui pourraient ĂȘtre victimes ou tĂ©moins de maltraitance, dâabus ou de fraude. Les capsules vidĂ©o sont malheureusement reprĂ©sentatives de certaines situations que nous voyons rĂ©guliĂšrement. Par ce programme prĂ©ventif, nous voulons non seulement favoriser la discussion et la rĂ©flexion, mais Ă©galement outiller les aĂźnĂ©s afin dâaccroĂźtre leur bien-ĂȘtre et leur sĂ©curitĂ©. » Karine Picard, SĂ»retĂ© du QuĂ©bec, sergente aux relations avec la communautĂ© Dâun point de vue policier, chaque sĂ©ance AĂźnĂ©-AvisĂ© est une occasion unique de crĂ©er des liens de proximitĂ© avec les aĂźnĂ©s et plus particuliĂšrement avec ceux qui sont plus isolĂ©s. En allant ainsi Ă leur rencontre, nous pouvons les sensibiliser sur des sujets tels que la fraude, la maltraitance et lâintimidation. Les commentaires que nous recevons des participants tĂ©moignent quâils se sentent mieux outillĂ©s et par la mĂȘme occasion rassurĂ©s. De surcroĂźt, ces Ă©changes et ces discussions nous donnent la possibilitĂ© dâexpliquer notre mandat ainsi que de dĂ©mystifier certaines pistes de solution tel que le processus de dĂ©nonciation. Bref, la richesse et le succĂšs du programme AĂźnĂ©-AvisĂ© se dĂ©clinent en trois aspects clĂ©s sensibiliser, prĂ©venir et sĂ©curiser. » Ann Remillard, animatrice bĂ©nĂ©vole Cela fait plusieurs annĂ©es que je mâimplique comme bĂ©nĂ©vole dans le programme AĂźnĂ©-AvisĂ© pour la FADOQ. Le but de ces sessions dâinformation est de les rendre trĂšs interactives et fort intĂ©ressantes pour les personnes prĂ©sentes. Jâai dĂ©jĂ entendu des tĂ©moignages, Ă©voquĂ©s librement par des victimes, soit de fraudes financiĂšres, dâabus physique et/ou psychologique ou dâintimidation, et je peux dire que ceux-ci mâont souvent beaucoup touchĂ©e. Il est impossible de demeurer indiffĂ©rente devant de tels tĂ©moignages. La prĂ©sence dâun policier ou dâune policiĂšre communautaire, qui accompagne toujours chaque bĂ©nĂ©vole, nous apporte un appui de valeur inestimable lors de ces sessions fort Ă©motives. Je crois que le programme AĂźnĂ©-AvisĂ© doit non seulement ĂȘtre maintenu, mais continuellement adaptĂ© aux besoins dâaujourdâhui, afin de sâassurer dâapporter un brin dâespoir Ă ceux qui souvent doivent affronter seuls cette maltraitance faite aux aĂźnĂ©s, un sujet encore tabou. » MĂ©lissa Pichette, SĂ»retĂ© du QuĂ©bec AprĂšs plusieurs sĂ©ances avec le programme AĂźnĂ©-AvisĂ©, une chose me revient Ă lâesprit constamment je constate Ă quel point plusieurs personnes ĂągĂ©es ont Ă©tĂ© victimes dâintimidation, de vol, dâabus ou dâautres Ă©vĂ©nements marquants. Les sĂ©ances dâinformation permettent dâaider sur le champ afin que les situations cessent et cela permet mĂȘme dâen prĂ©venir dâautres. Je suis fiĂšre de contribuer au mouvement du programme AĂźnĂ©-AvisĂ©. » François MĂ©nard, RĂ©gie intermunicipale de police Richelieu-Saint-Laurent, agent sociocommunautaire Le partenariat Ă©tabli entre la FADOQ des rĂ©gions Richelieu-Yamaska et Rive-Sud-SuroĂźt et la RĂ©gie intermunicipale de police Richelieu-Saint-Laurent dans le cadre du programme AĂźnĂ©-AvisĂ© nous permet, chaque annĂ©e, de rencontrer et de sensibiliser plusieurs aĂźnĂ©s sur diffĂ©rents enjeux de sĂ©curitĂ© personnelle et financiĂšre. Lors de ces confĂ©rences, nous les informons sur les arnaques et les fraudes quâils sont susceptibles de rencontrer ainsi que sur la façon de reconnaĂźtre diffĂ©rents types dâabus possibles. Nous les outillons et leur donnons des moyens pour Ă©viter de tomber dans ces piĂšges. Le tout ne serait pas possible sans notre collaboration spĂ©ciale avec la FADOQ et ses prĂ©cieux bĂ©nĂ©voles essentiels Ă la rĂ©ussite de ce programme. » Annie LĂ©tourneau, SĂ»retĂ© du QuĂ©bec, sergente, coordonnatrice et agente de relation avec les communautĂ©s La premiĂšre fois que jâai animĂ© une confĂ©rence AĂźnĂ©-AvisĂ©, jâĂ©tais patrouilleur. Ă la fin de la confĂ©rence, le groupe au complet est venu me voir pour discuter avec moi. Jâai aussitĂŽt eu un coup de cĆur! Ă une autre confĂ©rence, une dame est venue me voir pour me dire quâelle vivait de lâintimidation. Jâai pu rĂ©gler son problĂšme rapidement, car le suspect Ă©tait prĂ©sent lors de ma confĂ©rence. Je crois vraiment Ă la prĂ©vention et au programme AĂźnĂ©-AvisĂ©! »
NouvellejournĂ©e de tĂ©moignage au tribunal de Chester, oĂč le procĂšs de Benjamin Mendy, accusĂ© de huit viols, une tentative de viol et une agression sexuelle,Un ancien garde de camp de concentration, jugĂ© en Allemagne pour complicitĂ© de centaines de meurtres, a prĂ©vu de tĂ©moigner ce mardi devant la cour, une dĂ©position rare lors dâun des derniers procĂšs du nazisme. Les tĂ©moignages de gardes de camps de concentration ou dâextermination sont chose rare tant les procĂšs du nazisme et de ses rouages ont Ă©tĂ© peu nombreux. PHOTO AFP - AFP LâaccusĂ©, un ex-SS de 94 ans, a servi entre juin 1942 et septembre 1944 au camp de Stutthof, prĂšs de Gdansk en Pologne, oĂč quelque 65 000 personnes ont Ă©tĂ© tuĂ©es, essentiellement des femmes juives des pays baltes et de Pologne. JugĂ© en tant que mineur car ĂągĂ© de moins de 21 ans au moment des faits, son nom nâa pas Ă©tĂ© communiquĂ© par le tribunal de MĂŒnster. La presse allemande lâa identifiĂ© comme un paysagiste Ă la retraite prĂ©nommĂ© Johann. Son tĂ©moignage est dâautant plus attendu que le vieil homme, venu en fauteuil roulant Ă lâouverture de son procĂšs le 6 novembre, a pleurĂ© en Ă©coutant sâexprimer Ă la barre des victimes du camp de Stutthof. Son avocat nâa donnĂ© aucune indication sur les rĂ©ponses que son client compte apporter. Selon le quotidien Die Welt, en aoĂ»t 2017, il avait niĂ© face Ă la police avoir su que des atrocitĂ©s Ă©taient commises, affirmant que les soldats souffraient eux aussi du manque de nourriture. Les tĂ©moignages de gardes de camps de concentration ou dâextermination sont chose rare tant les procĂšs du nazisme et de ses rouages ont Ă©tĂ© peu nombreux. Au cours des rĂ©cents procĂšs, seulement deux accusĂ©s se sont exprimĂ©s publiquement, dont un longuement lâancien SS Oskar Gröning, surnommĂ© le comptable dâAuschwitz», qui avait demandĂ© pardon» en 2015 et reconnu sa faute morale». CondamnĂ© Ă quatre ans de prison pour complicitĂ© dans la mort de 300 000 Juifs, il est mort en mars dernier sans avoir purgĂ© sa peine. Jugement tardif Un autre ex-SS dâAuschwitz, Reinhold Hanning, avait lors de son procĂšs en 2016 exprimĂ© sa honte» dâavoir laissĂ© cette injustice se produire et de ne rien avoir fait pour lâempĂȘcher» et avait reconnu savoir que les dĂ©portĂ©s Ă©taient abattus, gazĂ©s et brĂ»lĂ©s». Mais il se posait en spectateur et non en acteur de lâHolocauste, avait dĂ©noncĂ© Ă lâĂ©poque le ComitĂ© international dâAuschwitz. Il nâa pas Ă©tĂ© incarcĂ©rĂ©, malgrĂ© une peine de 5 ans de dĂ©tention. Dâune maniĂšre gĂ©nĂ©rale, la justice allemande reste critiquĂ©e pour son traitement tardif et insuffisant des crimes du IIIe Reich. Elle a attendu 2011, avec le procĂšs de lâex-garde de Sobibor John Demjanjuk, pour poursuivre toutes les anciennes sentinelles de camps dâextermination pour complicitĂ© de meurtre», quelle que soit leur conduite individuelle. Ces anciens gardes sont dĂ©sormais considĂ©rĂ©s comme les rouages dâune machine de mort». Ainsi, selon lâacte dâaccusation, lâex-SS du Stutthof avait connaissance de toutes les mĂ©thodes pour tuer» et a dĂ©libĂ©rĂ©ment approuvĂ© les meurtres de centaines de personnes» mĂȘme sâil nây a pas participĂ© directement. Dans tous les rĂ©cents procĂšs, les accusĂ©s occupaient de telles positions subalternes. Aucun nâest allĂ© en prison grĂące Ă des recours ou en raison de leur Ă©tat de santĂ©. Quatorze audiences sont prĂ©vues jusquâen janvier Ă MĂŒnster pour juger lâex-garde de Stutthof. Elles seront limitĂ©es Ă deux heures chacune afin de mĂ©nager le nonagĂ©naire. A lâorigine, un second ex-garde SS de 93 ans aurait dĂ» comparaĂźtre mais son aptitude fait encore lâobjet dâexpertises.
LaGRC accusĂ©e de livrer des tĂ©moignages « Ă©vasifs » aux Communes CBC/Radio-Canada. 2022-05-10. Le juge est tombĂ© dans les stĂ©rĂ©otypes, selon le DPCP. Fermeture de lâurgence : coup dur OqwCi.