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Savoir monter correctement un jeu de corde sur sa basse est un rudiment qui se doit d'être maitrisé. Il permettra d'assurer les fondations d'un jeu agréable et éviter certains tracas sonores. Voici quelques conseils précieux. Lire l'article Ce thread a été créé automatiquement suite à la publication d'un article. N'hésitez pas à poster vos commentaires ici ! [ Dernière édition du message le 30/11/-0001 à 000000 ]Afficher le premier post Suivre par email 1234miles1981Je poste, donc je suisEnfin, jamais pu réutiliser mes cordes, à chaque fois elles étaient abîmées au niveau de la tête ![ Dernière édition du message le 30/11/-0001 à 000000 ]Romano_AFicionadoEnfin, jamais pu réutiliser mes cordes, à chaque fois elles étaient abîmées au niveau de la tête ! Ah ça doit dépendre des modèles de basses. Perso, ça m'est déjà arrivé. J'ai souvenir d'un essai non concluant de filets plats sur fretless, du coup j'avais remis les anciennes cordes à la place [ Dernière édition du message le 30/05/2013 à 195324 ]Bibi33Posteur AFfiné Citation de Citation de David LO PAT. Bonjour Manu, Bonjour Sub-Kortex Ah le démontage des cordes une par une . Je serai curieux de connaitre le nom de votre luthier. Tant que l'on ne change pas de tirant, il n'y a aucune raison de se refarcir un réglage. C'est tout l'intérêt du trussroad. Une fois qu'il est réglé sur une certaine tension, il ne bougera pas. Par contre, il arrive de déplacer les pontets du chevalet quand on enlève toute les cordes. C'est donc un endroit de l'instrument qui mérite quelques précautions si on ne veut pas se farcir une réglage des harmoniques. Voilà pour mes remarques. Maintenant si la chose vous rassure, rien ne vous empêche de changer les cordes une par une ou deux par deux. Bien à vous deux. Dans sa méthode "la basse intégrale" dit aussi de ne changer les cordes qu'une à la fois !? Perso je le fais pas car c'est plus pratique sans corde pour nettoyer la touche Citation de rennfly D'ailleurs ça me fait penser que des gens ont dit à des gens qui m'ont dit que pour redonner un "souffle de jeunesse" à ses cordes il fallait les faire bouillir attention ça ne marche pas avec les chats . Perso, je n'ai jamais essayé, mais pourquoi pas! ça marche aussi avec un peu de vinaigre blanc. ça redonne un peu de brillance mais ça ne dure pas et surtout la dynamique de chaque corde est inégale..... Par contre attention avec les cordes "COATED", là je suis pas sûr que ça marche !?? “Essayer d’expliquer la musique, c’est comme essayer de danser l’architecture.” Dernière édition du message le 02/06/2013 à 093113 ]Romano_AFicionado Perso, je n'ai jamais essayé, mais pourquoi pas! ça marche aussi avec un peu de vinaigre blanc. ça redonne un peu de brillance mais ça ne dure pas et surtout la dynamique de chaque corde est inégale..... Par contre attention avec les cordes "COATED", là je suis pas sûr que ça marche !?? Ah je testerais le vinaigre blanc.. Moi sur mes cordes en ce moment il s'est produit une chose assez rare. J'utilise le nettoyant pour cordes "Fast Fret" et j'utilise encore le chiffon fourni avec. Le truc c'est qu'il est assez vieux, et du coup il laisse des fibres partout, notamment sur les cordes. Et depuis un moment j'ai des fibres de tissus accrochées à mes cordes.. C'est pas franchement dérangeant mais c'est quand même étrange! Il va peut être falloir que j'investisse tu parles d'un investissement dans un chiffon que qualité! [ Dernière édition du message le 02/06/2013 à 094257 ]Bibi33Posteur AFfinéA ma connaissance le "Fast Fret" sert à rendre les cordes plus glissantes. En fait ça encrasse plutôt les cordes car c'est une sorte de graisse sur laquelle toutes les cochonneries se collent ensuite. Et en plus il me semble que c'est pas très bon pour la touche... A confirmer Pour ton histoire de fibres accrochés aux cordes tu dois avoir des cordes "coated" qui en s'usant laisse se type de peluche. Elles ne viennent pas du chiffon mais de la corde elle même corde genre ELIXIR. Tu trouveras des photos et plus de détails dans les liens suivants cet article sur les cordes en genérales et aussi il y a eu un test de cordes il y a pas longtemps Bonne lecture “Essayer d’expliquer la musique, c’est comme essayer de danser l’architecture.” Dernière édition du message le 02/06/2013 à 123522 ]Romano_AFicionadoAh super merci, vais lire ça! Pour mes cordes je crois que c'est des Elixir, ce sont les cordes de base de ma basse et je crois que les SR1200 sont montées avec. Ce qui me permet de confirmer que je ne dépenserais jamais une fortune pour acheter ces cordes![ Dernière édition du message le 30/11/-0001 à 000000 ]Bibi33Posteur AFfinéOui l'article est très intéressant et le test sympa te donneras une idée du marché actuel IBANEZ monte presque toutes les basse en ELIXIR exception faite des Gary WILLIS je crois en DADARIO. Je suis pas fan mais c'est surtout à cause du prix sinon le son est pas si mal !!! Bon dimanche musical à tous “Essayer d’expliquer la musique, c’est comme essayer de danser l’architecture.” Dernière édition du message le 30/11/-0001 à 000000 ]Romano_AFicionadoMerci!!! [ Dernière édition du message le 30/11/-0001 à 000000 ]simipiPosteur AFfaméle fast fret encrasser les cordes ? non, certainement pas ! je m'en sers continuellement, et cela nettoie bien mes cordes et leur redonne un brillant quelles ont quelque peu perdues après un concert. Essayer, c'est l'adopter, enfin c'est mon avis ! dans l'article, on parle du pied à coulisse, et il est dommage de ne pas en préciser l'utilisation, et la conversion cm/pouce.[ Dernière édition du message le 30/11/-0001 à 000000 ]Sub KortexPosteur AFfinéBon , va falloir faire un thread " Fast Fret " ! Don't worry , be groovy ![ Dernière édition du message le 30/11/-0001 à 000000 ] < Liste des sujets Suivre par email Charte 1234 Liste des modérateurs
DescriptionDétaillée. Modèle de corde conçue pour les horloges anciennes en chanvre tressé, vous serez très satisfaits par sa solidité. Le kit comprend 2 cordes de 2 mètres chacune, 2 rondelles et 2 crochets. Diamètre de la corde : 2,5 mm.

Les carnets du yoga 276 – avril 2005 Rubrique A votre avis » par Christiane Humbert Souplesse du corps = souplesse de l'esprit » Françoise Colombo-Pansard La question du mois par Didier, pratiquant de yoga Comment arriver à la souplesse du corps ? » Trois professeurs de yoga répondent 1 – Alain Bonnasse-Gahot la souplesse s’acquiert par une pratique posturale en dynamique, grâce à l’enchaînement de postures liées entre elles par la respiration, puis en statique. Dans la posture chat/chien, par exemple, avec une synchronisation avec le souffle, faire partir une impulsion à une corde. Si l’on reste dans la fluidité de cette respiration consciente, alors la souplesse du corps et la souplesse de l’esprit seront étroitement liées. Plutôt que le terme souplesse, j’ai envie d’utiliser les mots fluidité du mouvement. 2 – Elisabeth Audousset pour s’assouplir, il faut une pratique régulière et au fil du temps, le corps s’assouplit. J’amène à la souplesse du corps en sollicitant la souplesse de l’esprit, tout en laissant de côté les préjugés, les "a priori". En Madras », nous travaillons en dynamique et statique. Dans la phase dynamique, je propose des variantes d’ajustements pour que les élèves entrent dans la posture par tâtonnements. L’ajustement se fait en fonction de l’état du corps, dans l’instant. J’essaie d’aider les élèves à dépasser un certain volontarisme et favoriser un travail d’assouplissement global, par petites touches de ressentis, en observant comment réagit le corps. 3 – Johanna Winkel pour aider les élèves à allers vers davantage de souplesse, je propose de partir du mouvement de l’intérieur. Envisager une écoute de ce qui se passe à l’intérieur de manière à induire un état d’accueil, de réceptivité qui permet de vivre le mouvement présent en-deçà des possibilités et d’un certain volontarisme. Accueillir ce qui se passe, sans penser aux résultats. Juste accueillir. Présenté par Catherine Cuney et Martine Oehl

Commentchanger les cordes d’une guitare ? Changer les cordes de sa guitare est une opération de base que tout guitariste doit apprendre à faire au même titre que l’apprentissage des premiers accords. Ce savoir spécifique vous accompagnera pendant toute votre vie de musicien et deviendra vite un réflexe au bout des trois ou quatre premières fois. Tout d’abord, il y a deux

P'tit tour inter-fest au Calernaüm ! Présents Paul GSMagnan, Christian & Flo GSvenceTPST environ 4hUn retour de 4 jours sur la Côte d'Azur pour les fêtes et une sortie souterraine organisée ! pour changer d'habitude. Pour le coup, on est pas nombreux... à croire que tout le monde passe les fêtes en famille ! c'est n'importe quoi !Fred GSV était d'abord présent mais a du annuler à cause du travail... on ne sera que trois à aller se peler le cul sur Calern maudite météo ! Ca m'apprendra à dire que ce n'est pas un temps hivernal... On se retrouve tous pour un café à 7h30... 40 pour moi, à Pré du Lac, avant de covoiturer vers la boulangerie de Caussols pour les sandwichs et un autre café. La route est blanche, la neige tombe doucement, la température n'est pas élevée... on a des difficultés à se motiver ce matin... On finit par monter au parking de Calern où nous sommes accueillis par l'une des particularités du plateau le vent ! Ca pèle ! Même à Lyon il fait meilleur... Changement rapide... euh non, très lent. Paul perd un pouce à cause du froid, Christian perd son ***** en le sortant pour pisser, et moi, j'ai du perdre une occasion de me taire ! vais me faire tirer les oreilles encoreL'entrée dans la cavité est plus qu'appréciable ! De la chaleur ! Super !!! Paul souhaitait ouvrir la marche, mais sa frontale de secours a décidé de descendre le puits d'entrée avant lui ! Deutschland Qualitat elle fonctionne encore malgré la hauteur ! Je suis Paul et Christian clôture la marche en faisant quelques plans vidéos avec sa caméra embarquée dans les premiers puits. La batterie ne tient pas longtemps, faute d'un mode veille inactif ?On progresse tranquillement en appréciant que les puits ne mouillent pas autant que fin novembre. Paul tente un autre équipement dans le P80 enlever le dernier mono-point, remplacer le précédent par 2 spits et ajouter une dév' sur le dernier tronçon. Mais ça frotte Je remets l'installation d'origine en place et on se fait une grosse pause apéro vers 11h20 café, thé, cacahuète, anecdotes, pipi à l'odeur... forte !Paul ayant des douleurs au dos, Christian anticipant la remontée, mes contraintes horaires et la météo dehors nous poussent à ne pas visiter les réseaux. Ça nous fait une sortie digestive post-Noël, ou sortie de "papy" pour Christian qui n'a rien fait depuis le barnum SSF du Fourchu, fin septembre. D'ailleurs, ça se ressent à la remontée ! Et en bonne langue de pute que je suis, j'ai pas arrêté de charrier notre pauvre sexagénaire ! On sort vers 14h30, sous un vent de fou furieux ! Des pointes à 220km/h, facilement ! Heureusement que Paul est un pilier et que l'on a pu se longer à lui, sinon, on s'envolait jusqu'en Italie ! Mais la marche avec le vent en pleine poire, avec les flocons gelés qui viennent percer les yeux et les loups qui guettent le premier qui va mourir... c'est pas top !!!On croise quand même un randonneur un autre fou ? Oo mais qui nous rattrapera 5 minutes après. Quelques vieux passent aussi en voiture sur le parking, sortent la tête et re-rentrent dans la voiture, demi-tour & salut !On redescend manger à la boulangerie de Caussols, au chaud. Leurs sandwichs sont trop bons ! Le Calern remplit bien l'estomac ! Retour tranquillou sur Pré du Lac, la route ne dérape pas et les écureuils portent la WE dans le Doubs avec le spéléo club de V'soul Je pique les CR des copains pour une fois, pas le temps avec les fêtes ! Les photos arriveront bientôt ! j'espère... Gouffre des Ages, à Loray, samedi 20 décembre 2014Participants Florian – NanardTPST 2 H30Gouffre impressionnant par ses dimensions. Après avoir récupéré la clé à la mairie de Loray, nous partons pour cette cavité au milieu d’un lotissement en bordure de forêt. Merci à Jean-Luc d’avoir prévu une pince pour ouvrir le plusieurs hésitations pour localiser le bon point d’amarrage en fait, ce n’est pas les arbres qui manquent, mais lequel choisir ??, Florian équipe et descend le P38 magnifique, suivi par moi-même. Après être descendu jusqu’au point d’eau à – 76 m, nous prenons le temps de faire quelques photos. De nombreux vestiges hétéroclites au fond permettent de faires quelques photos des Ravières, samedi 20 décembre 2014Participants Florian – NanardTPST 2 H30Après un casse-croûte bien au chaud dans la voiture c’est vrai que dehors ça sent l’hiver, à Orchamps-Vennes, nous nous dirigeons vers le tumulus » au milieu des champs, qui localise l’entrée du gouffre. Bel édifice très particulier qui recouvre toute l’entrée du gouffre. Une lucarne nous permet d’accéder au P 18 qui donne dans la première salle, constituée d’un énorme éboulis. Après avoir fait le tour, nous recherchons l’entrée de la salle N°2. Salle imposante par ses dimensions et par la dimension des blocs qui jonchent le sol. Nos flashs ne suffiront pas à redonner la vraie dimension à cet espace assez sombre et dont une partie laisse apparaître des Les Cavottes, dimanche 21 décembre 2014Participants Jean Luc, Florian, Pauline, Nicolas, Bernard, Jean Marc, Véro, Didier, BertrandTPST 5 h 30 Journée initiation aux Cavottes. On fait des petits sauts de puces pour réunir, les équipements, les gens et covoiturer. A 10 h 30, on est tous prêts. C’est parti. On passe la diaclase à gauche pour savoir » ce que c’est que de se sentir à l’ le faux pas et le puits du bout qui permet d’éviter l’étroiture de droite. Plus loin Jean-Marc équipe la grande vire. Et moi le P7 avec les gentils ressauts. Chacun choisi sa route en fonction de son envie de sensation, plus ou moins de Luc et Jean Marc sont extra pour l’encadrement, on apprend des trucs, des histoires, des anecdotes et on avance tranquillement. Didier qui craignait bcp la sensation d’enfermement est ravi et apprécie la balade. On déjeune à la salle à manger avant de poursuivre dans un paysage dunaire. Un petit ruisseau coule au fond. Very joly. Bernard et JL font de la photo tandis que Florian J-Marc et moi , on part faire le P20, une bien belle cannelure brillante et une petite salle d’argile au fond avec quelques remonte, on reste quelques minutes tout feu éteint et on prend le chemin du retour. Je perds l’usage de ma lampe, plus de batterie en remontant le petit puits à ressaut. Les copains m’éclairent le temps de trouver ma frontale de secours et de la caler sur mon nez… On rentre par la tyrolienne tout le monde adore ça pas moi c’est la récompense avant la sortie bien La photographie souterraine en lumière continue Comme il parait que Florian cherche encore le compte-rendu de la sortie au Beaulieu le dimanche 16 novembre dernier, et que celle-ci avait un but bien précis, nous allons donc aborder le sujet ici la photographie souterraine en lumière continue. Le terme peut paraitre un peu pompeux, mais il s'agit somme-toute de quelque chose d'assez simple comment faire des photos sous terre sans flash ? Et comme il ne s'agit pas non-plus ne se trimbaler des projecteurs et des batteries, nous allons parler plus particulièrement de la photo souterraine en lumière continue disponible. Pour la séance du 16 novembre dernier, comme nous n'étions que deux, je me suis permis de tricher un peu, j'ai pris deux casques, un trépied et un déclencheur radio. Et cela suffit pour réaliser la photo ci-dessus. L'éclairage principal est assuré par une Scurion placée sur la gauche et les deux personnages s'éclairent mutuellement. A 3200 iso et avec un diaphragme de 11, il faut 4 secondes de pose. Mais pourquoi s'embêter avec la lumière si peu disponible pour faire des photos que l'on ferait beaucoup plus facilement avec des flashs ? La question est pertinente et mérite d'être posée. La lumière disponible va trouver tout son intérêt pour montrer ce qu'un flash ne peut pas rendre l'ambiance spéléo. Cette photo a été prise uniquement avec l'éclairage du casque de Dada. C'est donc l'occasion de dire tout le mal que je pense du phare de vélo que lui a vendu Jérôme. Outre le fait qu'il s'arrête sans prévenir toujours au moment où il ne faut pas c'est le problème de Dada, celui-ci a un faisceau beaucoup trop focalisé et surtout a une qualité de lumière blanche relativement médiocre. Aller Dada, coupe ton éclairage ! C'est quand-même mieux, comme ça non ? Juste avec une Scurion derrière et une Duo sur la droite qui éclaire le personnage. Comme vous l'aurez compris, pour avoir un éclairage correct, le prix reste encore malheureusement un peu dissuasif. L'avantage certain de la lumière continue se retrouve par contre dans la facilité de cadrage. Une fois l'appareil sur le trépied, on peut travailler avec l'écran plutôt qu'avec le viseur, ce qui permet d'avoir une idée relativement correcte du résultat. Bien-sûr, il est indispensable de prendre les photos en RAW et de régler la température de couleur à la main. Le sujet mérite d'être creusé. Mathieu Merci à Dada qui a su rester de marbre pendant ces longues poses ! Boule en biais & ses supporters au Calernaüm Présents Nico, Perrine, Paul GSMagnan, Flo, Yo & Dada GSV TPST 10h en moyenne Pour ma dernière sortie dans les Alpes Maritimes pour 2014, on s'est bloqués le samedi 29, un mois à l'avance, pour aller au Calernaüm. Finalement moins nombreux que prévu, on se retrouve à 8h15 à Caussols pour un café et établir l'objectif of the day le réseau I jusqu'à... ce que qu'on ait plus de cordes ou plus le temps sortie au plus tard minuit, mais 22h arrangeait bien tout le monde aussi. On se change au parking de Calern avec un vent typique de ce plateau. Direction la cavité où on entre avant 10h, Dada en tête, suivi de Paul, du binôme infernal des Magnan et du binôme des jeunes pipes en bois. Vu les pluies des 15 derniers jours, on s'attend à chopper de la flotte dans les puits et à se tremper. Pourtant, ceux-ci n'arrosent pas beaucoup et c'est tant mieux ! Je me remémore ma dernière venue dans la cavité pendant que Yoann en chie avec son gros kit il a pris le plus volumineux avec 2 bidons et 6 bouteilles de flotte, le courage insouciant des jeunes.... On touche le bas de la zone des puits vers 11h avec un petit écart entre le 1er et le dernier spéléo... Les Magnan en profitent pour élever le niveau des discussions. On apprend ainsi que parmi nous, nous avons Boule en Biais dû à une asymétrie sportive ! On attaque le réseau I en décidant de se poser manger à la salle des Magots. Le volume du parcours et ce plafond caractéristique marquant la séparation des deux plateaux me charment toujours autant. On avance tranquillement en suivant le guide Dada. Pause miam miam vers midi tapé à la salle des Magots. On profite du break pour faire le point sur nos objectifs. Plutôt que d'aller au plus loin, on transforme notre objectif "distance" en mission "profondeur" ! En allant au bas du toboggan boueux, on atteindra les -420m, ce qui représente un record de profondeur pour cinq spéléos de l'équipe ! Y a que le vieux Dada, du haut de ses 40 ans de vie troglodyte, qui ne battra pas de record aujourd'hui... Reprise de l'effort avant de se peler le cul pour arriver sur un passage incliné un peu chiant ça glisse, y a pas des masses de prises et les kits nous emmer*****, enfin comme d'habitude. Nico se coince la couille entre deux blocs et se retrouve à la merci de ses compagnons. Complètement bloqué, maintenu par un mousquif attaché au baudard, entre la vie et la mort, il attend une âme charitable pour le libérer. On rigolait un peu trop de son malheur pour pouvoir agir, jusqu'à ce que son binôme de toujours ne vienne lui trafiquer le paquet ! On quitte peu à peu les volumes pour se faire chier dans du moins large et du plus sale. Enfin, c'était jusqu'à arriver au toboggan "boueux"... on dirait que des gnomes maléfiques sont venus entassés leurs excréments ! Le bruit de ventouse que Paul nous offre à ce moment là donne une irrésistible envie de faire demi-tour ! On se motive tout de même tous pour atteindre notre objectif, les pieds dans l'eau et s'arrêter devant la corde remontante pour les Mounta Cala. On se félicite tous d'avoir battu notre record et... mince ! Paul, t'es bien black d'un coup. T'as des origines sénégalaises dissimulées ?Sur la remontée, Perrine s'explose le nez avec sa frontale de secours. J'ai raté ça, mais vu les rires en bas du puits, ça devait être un sacré moment ! Je clôture rapidement ce CR parce que... la sortie a déjà était effectuée il y a 8 jours et je ne l'ai toujours pas finalisé !!! Dada fila vite à la surface, suivi de Yoann et moi. Quand on sort vers 20h, la pluie et le vent nous refroidissent gravement et on préfère filer aux voitures, dans le brouillard, pour éviter de geler. Le trinôme restant sortira une demi-heure après nous et se gèlera tout autant que nous ! Pas de repas commun finalement, chacun veut aller sous la douche et surtout se mettre au chaud !!! Le fin fond du Calernaüm nous attendra encore quelques temps... Florian Aven Leo Présents Mathieu, Bernard, Dada, Damien, Fred, et François TPST 4h Rendez-vous au parking des Baragnes à 9 h 30. Descente avec Mathieu, Bernard, Dada, Damien, Fred, et moi-même en dernier. Très beau trou, avec de beaux puits sans étroiture pour une fois. Bernard et moi, nous nous arrêtons à -100 au bas du Nous jetons un œil au méandre boueux qui lui fait suite, et qui n’est guère encourageant, pour aller y travailler ! mais ça continue derrière, et cela motive les plus hésitants. Dada, Mathieu, Fred, et Damien y vont et reviennent couleur ocre !! Dada pense y entamer prochainement une campagne d’élargissement, et de calibrage. Vu à leur retour, l’état des gars qui y sont allés, bon courage aux amateurs ! Après un casse-croute légèrement arrosé de beaujolais, nous remontons Bernard et moi, les autres nous suivent, laissant à Dada le soin de déséquiper et changer les cordes, et eux de tirer les sacs. Nous sortons vers 13 h45, la sortie des autres s’échelonnant jusqu’à 14 h30 pour Dada. François Grotte de Vaux Saint Sulpice Ain Présents Hélène, Raphaël CSTroglos, Jérémy, Maxence, Alexis, Soazic, Marty les très bientôt CSTroglos, Marjorie Ain représente !, Florian GSV et bientôt CSTroglo aussi TPST 7h RDV à 7h30 au local pour préparer le matos ou 8h, pour les moins courageux comme moi, pour arriver les mains dans les poches ! Encore un temps mitigé pour cette sortie domenicale, sous le signe de l'initiation/premières approches souterraines. En effet, nous ne sommes que trois spéléos confirmés aujourd'hui. Du coup, l'objectif n'est pas d'aller loin, d'autant plus que la filleul de Raph la petite Soazic, du haut de ses 11 ans doit être ramenée à bon port avant que le SSF ne débarque... On décolle du local vers 8h, avec un arrêt prévu en chemin pour récupérer Marjorie, dans l'Ain, qui fait sa 1ère sortie avec les Troglos. On rame un peu pour trouver le lieu de RDV et le GPS nous fait des blagues... on gagne en retard ! Pour aller à la cavité, on passe juste à côté de Chaley, ce qui me ramène à d'agréables souvenirs mes premiers canyons avec la ligue spéléo Franc-Comtoise ! Et forcement, plus loin, on admire la cascade de Charabotte qui crache bien ! C'est superbe à regarder mais en canyon, on doit se faire broyer ! Bref, après tant d'extase, on arrive au parking de la grotte où l'on se prépare sous un vent bien frais. Hélène coordonne la troupe pendant que Raph' apprend que Caribou n'est pas levé le verra-t-on ? Aurais-je l'honneur de le rencontrer ?. On file en tête pour équiper la vire et le puits the obstacle of the day, à 11h. On est vite rattrapés par le reste du groupe... à croire que je suis lent à équiper ! J'aime le travail bien fait, c'est tout ! Et en plus, c'est une ode aux amarrages naturels ! Dyneema & concrétions, mes amours ! La descente du puits est fluide mais lente 9 têtes d’œufs à descendre, c'est long, mais on préfère éviter de faire des omelettes avec les débutants. La suite du parcours se fait dans de l'étroiture aménagée, ça passe bien en permanence avec des pièges "Oh ! du vide !" et des petits puits de 6m où la corde de secours est nécessaire pour sécuriser celle en place tonchée. On se pose manger une fois revenue dans du volume. On essaie de ne pas trop trainer vu l'heure, histoire de faire un peu plus de parcours ! D'autant plus que ça devient intéressant des volumes agréables, des puits remontants bien dessinés, des concrétions modestes aux belles méduses qui nous amènent dans la rivière souterraine ! C'est parti pour le bain de pied ! Enfin, le bain des cuisses plutôt, le niveau est plus haut que ce qu'il ne parait avec la boue où l'on s'enfonce. Suite ressaut à escalader relativement casse-gueule pour les jeunes. Hélène le passe et rééquipe avec la corde de secours que j'avais récupéré après notre passage en fermant la marche. C'est pas un truc immense, mais le passer nous fera perdre beaucoup de temps. Les garçons en profitent pour chambrer Marty Hail USA ! 8 français VS 1 américain who will win ? Marty isn't afraid of us Cependant, ça vaut le coup ! La salle des Géodes juste derrière offre de très belles dimensions ! La traverser est d'autant plus marrant quand les spéléos choisissent l'option "galérer pour rien" avec, en prime, une glissade/réception très classe d'Hélène ! On poursuit par le laminoir et des volumes plus petits. Dans la petite salle suivante, on peut observer le cumul des différentes strates qui se sont empilées à travers les âges, c'est très esthétique et assez rare d'en voir autant, si bien conservé ! pas de photo par contre, j'avais pas l'appareil sur moi... oops. And then, la fameuse étroiture avec la moquette ! Ça glisse trop bien, c'est génial ! Et on accède à la galerie des lacs où l'on stoppera notre progression vu l'heure. Dommage, on a du faire 1/4 du développement total et encore, je dois être optimiste et cette dernière galerie est très belle et tentante... Tant pis, on se contente de faire un toboggan pour se remonter le moral surtout les grands enfants, mais gaffe à la réception !. Sur le retour, on laisse un groupe prendre de l'avance pendant que l'on fait quelques photos. La salle des Géodes étant trop volumineuse, et n'ayant que mon petit matos, rien ne rend sur la photo. On poursuit pour ne pas prendre trop de retard et ponctuons la progression d'une autre pause photo, après avoir regardé Jérémy tomber lamentablement à genoux dans la rivière ! Enfin, dans le seul rocher de la rivière pour être précis... Aïe ! Ayant peur de trop traîner, on ré-attaque rapidos mais rattrapons le groupe de tête dès le 1er petit puits. Du coup, on reste tout ensemble pour la remontée. Je déséquiperai mon bordel installé le matin et on passe la tête dehors vers 18h, sous la lune cachée par les nuages et... Ô joie, sous la pluie quand vient le moment de se changer ! Et m**** ! Hélène nous fait pourtant la surprise d'un gâteau en avance pour l'anniv' de Raph ! Chanceux que nous sommes ! Florian Gouffre du Gampaloup Vercors Présents Raphaël, Nico, Johanna, Hélène & Marty CSTroglos, Flo GSV TPST 11h Nouvelle sortie pré-intégration avec les Troglos. Cette fois, Nico a voulu aller dans le Sud ! Oui, Autrans, c'est le Sud... pas mon Sud à moi, mais ça reste un Sud par rapport à Lyon = On retrouve les joyeux compagnons des précédentes sorties, plus Hélène qui sera notre "guide", c'est la seule du groupe a déjà avoir fait la cavité ! RDV 8h au local pour charger les voitures et filer dans le Vercors sous une météo mitigée. Pas mal de route et un petit détour pour trouver le parking de la cavité où l'on se pose. On s'habille et Hélène refait les kits de bouffe/eau. On cherche un peu l'entrée de la cavité en se fiant au descriptif imprimé par Nico. C'est un peu casse gueule comme marche d'approche mais ça passe tant bien que mal. On débouche sur la petite entrée de la cavité un court ramping agréable et attaquons la progression vers 10h30. J'équipe le premier kit avec le très esthétique puits du Beurre et, un peu plus loin, le puits de la Colonne avec ses spits de tête de puits un peu... haut ! On débarque dans la salle des Éclopés où l'équipe se scinde. Hélène et Nico partent équiper l'aval tandis que le reste du groupe passe à table. Je mange rapidos afin d'aller équiper l'amont. Après quelques puits remontants équipés en fixe, je débarque dans la salle du Méga Loup aux très belles dimensions ! Je suis la vire équipée en fixe jusqu'à déboucher à une lèvre où l'eau se fait clairement entendre 20m plus bas. Normalement, j'aurais du équiper quelque part par là... mais je ne trouve pas de points me satisfaisants et continue à progresser sur la vire en me demandant si l'accès au puits n'est pas plus loin... Je finis par arriver au canyon que je parcours sur quelques dizaines de mètres avant de faire demi-tour. En rebroussant chemin, je ne vois toujours pas où passer et la solitude commence à me gagner... 1h30 seul, c'est pas agréable ! Je pose mon kit et reprend la direction des Éclopés où je retrouve Raph, Johanna & Marty dans le dernier puits remontant, vers 15h. Ceux-ci n'ont pas revu l'équipe aval et surtout... ils ne leur ont rien laissé à manger ! D'où leur joie quand ils nous retrouvent enfin ! Hélène prendra la suite de l'équipement après avoir remotivé l'équipe. Et elle a bien eu raison, l'intérêt de cette sortie réside dans cette boucle à parcourir les pieds dans l'eau ! On y alterne petits puits toujours équipés par Hélène, méandres et lacs pour finir sur un rappel guidé à côté d'une cascade. De là, on attaque la remontée par l'aval. On scinde de nouveau l'équipe Raph, Johanna, Marty et moi passons par l'aval je déséquipe tandis que Nico et Hélène se chargent de récupérer les cordes de l'amont. Après trois ans de spéléo et une déformation de la cuisse droite à force de monter les puits sur une jambe, j'ai enfin acquis un pantin ! Time for its first pit ! On finit de ramener la C100 et n'allons pas tarder à revenir à la salle des Éclopés alors que j'entends Raph' galérer dans une étroiture. Il suffit pourtant de se retourner et de voir un passage large juste au dessus du bec ! Tant d'efforts méritent un petit café ou thé, selon les envies, avant d'attaquer les 70m nous séparant de la surface et de la libération ! Je laisse mes trois compagnons commencer à remonter pendant que je reprends la direction de l'amont pour voir où en sont Hélène et Nico. Je ne fais pas un gros parcours avant de les rejoindre et les allège d'un kit. S'ensuit une remontée en douceur que Nico déséquipera. La pluie dehors nous pousse à rester allongés dans le laminoir d'entrée, au sec. Lorsque toute l'équipe est à portée de voix, on file avec courage aux voitures... il est déjà 22h bien tapé ! "De toute façon, on se repose demain." déclare l'un de mes compagnons d'infortune. "... euh... moi, je bosse..." - On perd Hélène et Nico sur le chemin de retour se seraient ils trompés de sente ? mais nous, on ne se décourage pas ! On se change ! Et on affronte toutes sortes de problème de la guêpe ayant trouvé refuge dans la voiture à la botte coincée sous la roue de bagnole ! Pour couronner le tout, un accident sur la route nous poussera à faire demi-tour et à changer totalement d'itinéraire. Résultat des courses arrivée sur Lyon à 2h du matin ! Je vais être frais au boulot... Florian Evacuation de déblais aux Cascadelles Présents Fred, Dada et Mathieu TPST 7h Avec un peu de retard, voici le compte-rendu Pour ceux qui n'ont jamais entendu parlé des Cascadelles, il s'agit en fait du nouveau nom du 68-S1, le précédent nom ayant été retiré pour des considérations de correction politique. Ce trou ayant été renié par ses découvreurs, Dada a entrepris un re-calibrage complet avant de continuer la suite. C'est pourquoi nous nous retrouvons Fred, Dada et moi-même pour une séance d'évacuation des déblais. Le trou se trouve dans le vallon qui descend du Cappuccino et sert d'embu les jours de fortes pluies. Il commence par un petit ressaut, cinquante mètres de méandres, quelques petits puits équipés de façon non-conforme, et on arrive au méandre de trente mètres qu'il va falloir évacuer de ses déblais. Après une bonne séance, Dada a fait tous les tirs de la journée et le méandre est parfaitement nettoyé. Nous arrivons à ressortir, rentrer aux voitures et nous changer avant la nuit, qui justement arrive une heure plus tôt ce jour-là. Et surtout plus personne ne verra d'inconvénient à ce que l'on dise qu'on aime pas les Cascadelles ! Mathieu Gouffre de la Morgne Ain - Salamandre mon amour ! Présents Raphaël, Laetitia & Marty CSTroglos, Flo GSV TPST 5h Seconde sortie du week end avec les Troglos lyonnais. Cette fois plus calme, on sort en parallèle d'une séance d'initiation, encadrée par Fran-Trois & Thibaut. Pour ne pas les déranger dans leur progression, on a convenu de partir avec un décalage d'1h - 1h30. Ce qui nous fait un RDV à 9h au local... enfin 9h20 pour les retardataires dont je tairais le nom cette fois... cf CR précédent. On décolle plus ou moins rapidement, le temps de préparer le matos, et prenons la direction de l'Ain. On traverse des bancs de brouillard où les percées de lumière offrent une vision surréaliste de la forêt, nous menant par dessus les nuages, sous un soleil éclatant. Après quelques détours grâce au GPS qui nous mène par le bout du nez, on débarque à côté de la voiture du 1er groupe. On va se garer légèrement plus loin où trois bons môssieurs nous indiquent la cavité dans une mauvaise direction... à notre retour, ils avaient disparu ! Drôles de pratiques chez les Troglo... S'ensuit une chasse au trésor pendant près d'une heure où on aura l'occasion de repérer une belle doline, et une autre plus discrète recouverte de branches un puits est apparent au fond... si on ne trouve pas la Morgne, on sait toujours quoi faire !. Car oui, après 1h de crapahute, on n'a pas trouvé la cavité ! Vu qu'on cherchait pas du bon côté... Un coup de fil à Laurence permet de la situer rapidement. Midi passé, certains se changent pendant que d'autres cassent la croûte autant voyager léger dans le gouffre PS j'ai du mal à utiliser "gouffre" au lieu de "aven"... maudit sang de sudiste !. J'équipe la cavité sous les directives de Sieur Raphaël qui souhaite "s'amuser". Une dév' bien chiante à installer dans le puits d'entrée plutôt que le fractio classique. Apparemment, les copains en chient pour la passer aussi ! J'essaie de ne pas utiliser les même points que le groupe d'initiation pour éviter de les gêner dans leur progression. Du coup, ça tricote, ça teste des spits certains sont complétement morts ! et ça bouffe la dyneema en 2 - 2... Beau volume dans les premières salles qui s'offrent à nous. La seconde est bien concrétionnée et j'aperçois une lumière au fond. Je file la rejoindre et salue FranTrois qui s'apprête à descendre le 2nd puits, après avoir assuré les initiées par le haut. Ceux-ci prennent de l'avance pour aller manger au calme... enfin, au calme... c'était sans compter sur nous quatre poires pour aller les embêter ! On prend le café avec eux puis j'équipe le puits Borgne très beau puits par son concrétionnement. Petit niveau de flotte en bas ; apparemment, c'est très sec pour la saison ! Avant de remonter, je visite très rapidement le réseau sup' une partie et abandonne le groupe d'initiation. Raph' n'étant pas top, on ne va pas trop s'éterniser. Dans la dernière salle avant la remontée, on trouve le bidon dont nous avait parlé le 1er groupe Oh, Salamandre mon amour ! Quelle joie de voir toutes ces bestioles ensemble, avec leur tension légendaire. On laisse le soin au 1er groupe de les secourir, nous, on doit déjà se trimballer Raph' joke ;-p. Je déséquipe mes conneries de l'aller et remarque que la dev' était franchement chiante BANZAI le pendule ! Et... mince, il fait nuit ? Ah oui, le changement d'heure ! Mine de rien, on est restés 5h dans cette petite classique de l'initiation. Now, time to get some dry clothes ! Retour toujours aussi paumé avec le GPS vaut mieux se fier à la mémoire ! Pause café sur une aire d'autoroute où je feins de ne pas connaître notre encadrant heureusement que le ridicule ne tue pas ! Maintenant que j'ai bien pourri Raph', on va voir s'il me veut toujours autant dans son club ! =D Florian Gouffre des Deux Vincents Ain Présents Nico, Marty & Raphaël Clan Spéléo des Troglos, Flo GSV TPST 6h20 Enfin bien installé sur Lyon, je peux me remettre en chasse d'aventures souterraines ! Je contacte l'un des clubs locaux, le Clan Spéléo des Troglos, et suis accueilli par Raphaël, chef initiateur de son club. Après un "test" en salle le jeudi soir, afin de se rencontrer et évaluer mon niveau, Raphaël m'invite à effecteur la sortie du samedi avec Nico organisateur & Marty jeune étudiant américain. Nico souhaitant découvrir de nouvelles cavités, il a choisi le gouffre des Deux Vincents dans l'Ain, un réseau de plus de 3km, dont on ne verra pas une grande partie. RDV le matin à 8h au local des Troglos pour préparer le matos et décoller dans le département voisin. Je fais la rencontre de Nico et papotons en attendant Raphaël et Marty qui arrivent... vers 8h50 ! Bon dieu ! Le réveil a été dur pour eux ! On enkite le matos, chargeons la voiture de Raph et prenons la route. 1h20 de trajet plus tard, nous sommes au pied du trou. Ou à la tête plutôt. Une plaque de métal verrouillée permet d'éviter que n'importe quel curieux ne vienne se plomber dans le P7 d'entrée. Nico passe en premier et utilise la corde équipée en fixe. La cavité est, en fait, entièrement équipée mais nous avons voulu nous entraîner un peu et doubler les deux plus grandes longueurs. La salle d'entrée présente de belles strates et nous guide rapidement vers le P35. Nico équipe sa corde pendant que je le surveille du coin de l’œil je suis plus expérimenté des deux apparemment... la pression !. Il débute sa descente et je me mets en parallèle sur la corde en fixe. Si vous allez y faire un tour, sachez que les cordes filent pas mal dans le descendeur ! Me suis fait surprendre dans ce fil d'araignée ! Je double Nico et pars équiper le 2nd puits. La corde en place offre un mono frac' sur le dernier point de vertical, enchaîné 10m plus bas par une dév' sur plan incliné... Ça me tentait moyen de la prendre et étais ravi d'avoir pris le kit. Je tresse un peu pour faire plaisir à Raph, pas fan du nœud de chaise en tête de puits ou MC et, un raboutage de corde suivant et on peut déjà voyager à "vide". On passe une belle vire déboulant sur une galerie bien taillée, ponctuée de ressauts et petits puits assez esthétiques. On arrive ainsi sur le siphon shunté un petit lac que l'on survole par une vire et où l'on débouche dans une fenêtre artisanale pour aller voir de l'autre côté de la flotte. On continue le parcours avec une galerie descendante et entamons une galerie sèche plutôt que d'aller au fond. Il est déjà 13h... 14h... ou 15h... enfin pas tôt et il fait faim ! Pour les curieux qui se demandent pourquoi on a mis autant de temps, c'est simple retard + trajet + longue préparation avant d'entrer dans la cavité + 1 débutant Marty... De toute façon, le but n'était pas d'aller au fond, surtout que j'avais un RDV le soir. Bref, on se pose dans un coin sec et plat pour casser la croûte et s'offrir un café ou un thé. Lulu, le découvreur et explorateur de la cavité, avait indiqué à Raph que cette partie de la cavité était belle, sèche et propre. OK pour le 1er point, par contre, pour les autres, ça dépend où on va. Après une superbe faille que l'on remonte sur une dizaine de mètres, on débouche dans une galerie qui cut plusieurs mètres plus loin. Un passage bas, boueux et très humide avec des traces de passage force notre curiosité à aller y fourrer nos pattes. En bon volontaire désigné, Nico passe en tête et nous incite à le suivre... dans de la bonne glaise collante avec étroiture et ressaut remontant. Il fait demi-tour en haut car ce n'est pas engageant. On ne prend même pas la peine de monter le rejoindre vu la tronche du truc. Vu l'heure et notre vitesse de croisière, on fait demi-tour et remontons à notre rythme. Enfin, au rythme du vieux et du jeune. Nico & moi pétons la forme ! Yeah ! Jeunesse ! Marty se fight avec des araignées dans le puits d'entrée pendant que l'on passe le museau dehors vers 17h - 17h30 et retournons sur Lyon. On se donne RDV le lendemain pour le gouffre de la Morgne, cavité d'initiation classique ! Florian Week-end en Haute Saône et dans le Doubs Un retour aux sources, la Franche-Comté, berceau qui m'a formé à la spéléologie, où j'ai appris ce qu'était un accueil chaleureux, à apprécier toutes les bonnes choses le vin particulièrement et à pester contre cette maudite glaise qui nous avale tout entier ! Mon installation sur Lyon* me permet de retourner voir mes amis spéléos du Spéléo Club de Vesoul, qui m'avait accueilli et supporté durant 10 mois, lors de mes études. Après nos "retrouvailles" en mai dernier sur la Côte d'Azur, c'est à mon tour d'aller chez eux. Au programme, de la spéléo verticale dans le Doubs avec les gouffres de Foye et de Vau, ainsi que la baume des Crêtes ! Je rejoins Jean-Luc et son épouse Chantal, vendredi soir, qui ont la gentillesse de m'héberger. Je vous passerai les détails sur le délicieux repas héhéhé. *Pourquoi il nous casse les pieds à publier sur le blog du GSVence s'il est sur Lyon ? Parce que je suis toujours licencié à ce club, jusqu'en décembre en tout cas p Gouffre de Foye Présents Jean-Luc, Jean-Marie SCVesoul, Flo GSV TPST 2h15 Réveil à 8h en ce samedi matin ensoleillé et chaud ! Vu l'heure et demi de route qui nous attend, autant se lever tôt pour ne pas perdre trop de temps. Surtout que l'on a moi plus particulièrement un planning chargé 2 gouffres à visiter, un repas chez un spéléo, un verre avec des amis le soir ! C'est beau la jeunesse ! On retrouve Jean-Marie pour covoiturer et c'est lui qui conduira. Je le rencontre pour la 1ère fois, malgré l'année passée dans son club, où il avait fait une pause de 8 ans ! Cela n'empêche que le Papy a encore de la bonne réserve de force ! On attaque la journée par le Gouffre de Foye, en entrant à 11h et des brouettes. J'équipe la cavité qui commence par une vire + puits. A la base de ce dernier, une salamandre et un crapaud carnivore cf photo des restes de son repas ! On enchaîne sur le 2nd puits très confortable et arrivons dans une salle bien sympathique. On s'arrête au fond de celle-ci, devant un passage bas très humide. Derrière, il y a 2 cheminées normalement équipées en fixe, mais sans réel intérêt car il n'y a pas de suite. On fait quelques photos en remontant et Jean-Marie déséquipe ; Jean-Luc étant patraque. Jean-Marie en profite pour me notifier que j'ai de la poigne ! Il a des difficultés à desserrer les plaquettes avec sa mini-clé ultra-moderne tête pivotante rendant tous spits simples à visser. On passe le nez dehors vers 13h30. On se change et on file vers le 2nd gouffre où l'on mangera sur le parking. Gouffre de Vau Présents Jean-Luc, Jean-Marie SCVesoul, Flo GSV TPST 2h30 Seconde partie de la journée avec le Gouffre de Vau. Une verticale de 44m nous attend ! J'équipe la cavité ; c'est un juste retour des choses, je ne savais pas faire il y a 2 ans, je leur rend la monnaie de la pièce maintenant ! Une plaque funéraire est à l'entrée du gouffre, rendant hommage à un spéléo de 1966. C'est pas récent tout ça ! Au bas des 44m, une impressionnante vie animale y règne 12 salamandres, 4 crapauds/grenouilles, quelques chauves-souris... Un vrai zoo ! On a même peur d'où on met les pieds ! Certains d'entre eux auront l'occasion de papoter avec la mascotte du SCVesoul Ankulosorus ! cf photo du truc vert Le reste de la cavité présente de belles galeries bien concrétionnées, avec des formes variées et un joli travail de l'eau. On s'arrête devant une escalade pas très encourageante pas de point pour installer une MC pour sécuriser... gloups. On profite pour faire des photos avec un seul flash on en a perdu en route ! C'est ce qui arrive quand on laisse un flash sur le toit de la voiture... Adios old boy ! On remonte tranquillement en ponctuant le trajet d'éclairs dans les galeries et le puits. Jean-Luc se sentant mieux, il déséquipe le puits d'entrée. Retour à la voiture où l'on se change et prenons la direction de Chambornay les Bellevaux renommé Chambourey les Blaireaux par Jean-Marc où ce dernier nous accueille avec sa famille pour un repas. J'enchaîne avec quelques bières dans Vesoul pour revoir des amis avec un retour tardif au bercail. Baume des Crêtes Présents Jean-Luc, Nanard SCVesoul, Flo GSV TPST 3h Rebelote pour l'heure du réveil 8h ! Plus dur que la veille vu l'heure où je suis rentré. On retrouve Nanard en chemin pour faire les même compromis que la veille Nanard conduit jusqu'à la cavité, à proximité de Nans Sous Ste Anne. Mes deux amis & hôtes n'ont pas fait cette cavité depuis longtemps et avaient demandé confirmation à Jean-Marc, la veille, quand à l'équipement. Sur place, on arrive sous un grand soleil mais également un grand vent ! Au point que l'on supporte aisément la sous combi et la combi ! J'équipe et déséquipe la cavité aujourd'hui ; une belle MC se transformant en vire permet d'accéder aux 30m restants du puits d'entrée cavité brochée = temps gagné !. Le puits est déjà très beau mais la salle où on arrive est juste... GE-NI-ALE !!! Le plafond de la salle reste constant alors que l'on descend une 40aine de mètres de dénivelé, alors que les parois sont éloignées. Je n'ai pas les dimensions de la salle mais ça vaut franchement le coup ! De plus, c'est très bien concrétionné grande coulée de calcite, empilement d'assiettes, gours... Superbe ! On fait quelques photos avant de continuer notre progression. On cherche la suite et ratons d'abord le passage vers le fond. Nanard et moi visitions la salle des Suisses tandis que Jean-Luc nous attend dans la salle précédente il sentait que ce n'était pas là. Je repasse entre des blocs que JL avait vérifié et découvre la suite du réseau un passage bas qui lui avait échappé. J'y vois les broches suivantes mais vu l'heure, il faut envisager la remontée avec les pauses photos. Et oui, j'ai une contrainte horaire avec mon retour sur Lyon... On positive en se disant que l'on a fait du repérage pour la prochaine fois ! Parce qu'en plus d'être une belle cavité, elle donne accès au réseau du Verneau via le collecteur ! Et ça, ça donne envie !!! En remontant, on fait plusieurs photos dans différents styles contre-jour dans la salle du Réveillon où une trace d'une main à 6 doigts se trouve... bizarre..., volume et concrétions dans la grande salle d'entrée, puits. On sort avant 15h et prenons le temps de manger au soleil. Puis retour sur Vesoul où je dois me doucher avant de décoller pour le Rhône. Très bon week end, beaucoup trop court, où la joie de retrouver des amis était encore plus grande que celle de découvrir des nouvelles cavités ! Prenez vos calepins, je vais revenir en Haute Saône plus tôt que prévu ! tant de cavités à y visiter... Florian Petit diaporama du week end avec des photos de Jean-Luc et des miennes. Prospection au Férion Présents Brit, René ASBTP, Daniel et Mathieu GSV TPST 6h Pour ceux qu'un doute habite, même si le massif du Mont Férion n'est pas très connu des spéléologues, il n'est pas entièrement dépourvu de cavités. Le fichier en répertorie royalement quatre qui se développent toutes sur des petites failles. On peut expliquer cette situation à la fois par une roche assez dolomitique, peu propice à la karstification, et une difficulté d'accès non-négligeable. Aussi quand le Conseil Général a contacté le CDS pour identifier des cavités présentant un écoulement d'eau afin de faire des colorations, le défi n'a pas manqué d'être relever. Et afin de pouvoir faire la prospection, le 4X4 de René a reçu l'autorisation d'emprunter la piste. Nous nous retrouvons donc à 8h30 chez René, pour aller ouvrir deux entrés repérées par Dada lors de la séance précédente. A partir de Levens, il faut grosso modo compter une demi-heure de piste pour monter jusqu'à la chapelle. Les entrées sont à cinq-dix minutes de marche. Nous nous séparons en deux équipes pour ouvrir les deux entrées, Dada ayant gardé la plus coriace pour nous. Au bout d'un quart d'heure, René nous indique que Brit a réussi à rentrer et qu'il va la suivre. A midi sonnant au clocher de Coaraze, Brit et René sont de retour, topographie faite. Et nous, nous sommes toujours en train de fignoler l'ouverture. L'heure de manger s'approchant, sous nos chaleureux encouragements Dada se décide à rentrer quand-même. Après le repas, nous laissons Brit et René faire la topographie du deuxième trou, et allons visiter le premier. Celui-ci est très peu engageant. Il se développe dans une trémie au milieu d'une faille. Pour les suicidaires, il reste de la première à faire dans ce trou. Sur quatre personnes, aucune n'a été tentée. A la suite, je pars continuer la prospection pendant que les autres terminent les derniers aménagements. Quelques dizaines de mètres plus loin, je tombe sur une entrée naturelle. Je rameute tout le monde et je commence la visite. J'arrive jusqu'à un puits où il y a déjà un spit et une plaquette. Brit a retrouvé le numéro sous la mousse 75-L. Encore quelques dizaines de mètres plus loin, je trouve une autre entrée qui permet d'accéder dans une petite bulle avec une petite faille non-pénétrable qui descend. René fait la topographie. Comme on n'a pas été capable de trouver une marque, Dada grave le signe de la doline. On arrête la prospection à 16h pour rentrer. Mathieu Les averses et le soleil de La Turbie ! Présents Paul, Anne-Lyse, Nico GSMagnan, Chris D. ASBTP, Flo & Yo GSV + Micka, Ondine, Damien & Laura TPST 7hUn petit retour sur la Côte d'Azur après deux semaines lyonnaises et suisses, pour retrouver les amis locaux aux fameuses carrières romaines de La Turbinette, où la météo n'est jamais avec nous depuis le début de l'année. On se retrouve pour 9h30, avec un effectif moins nombreux que prévu. Tant pis, ça nous fera plus de voies dispos par personne ! On attaque chacun un équipement différent, avec Micka en tête qui trace ! Je n'ai même pas le temps de visser mes premières plaquettes... Chris chapote Yoann sur une autre voie pendant que je fais descendre le barbec' vers Paul. J'entame ma voie... la plus pourrie, me suis encore fait n***** ! 80% des spits sont bouchés par de la terre ! Les trois "touristes" arrivent à leur tour et Chris se chargent de les former à la descente de rappel avec fractio, ou bien il leur fait juste un rappel pour Ondine l'habituée par exemple. Yoann me rejoint sur ma voie et j'en profite pour lui montrer comment équiper une vire. Ça me permet de me reposer aussi, ça a tendance à énerver les spits colmatés, sous la pluie... Tout le monde tourne pendant que Paul prépare le barbec'. On se retrouve tous, ainsi que Nico, le jeune papa dynamique, autour de ce généreux repas, un peu arrosé. Des slackliners finissent d'installer leur ligne. Nico ira tester sa chance après le repas ! On papote et rigole tellement que l'on remonte sur les cordes vers 15h30... Autant dire que l'on a fini notre journée tranquillement. Bilan Paul assure toujours autant au barbec' et à l'équipement, Chris est un excellent encadrant j'en suis la preuve, modeste, on a pu manipuler différents matos dyneema, plaquettes, racines de gingembre, les débutants étaient ravis et le soleil était même présent l'après-midi ! J'ai zappé les photos par contre... Florian Barnum annuel du SSF06... au Fourcul !!! Présents SSF06, SSF83 et le GRIMP TPST presque 10h En cette joyeuse fin de Septembre, nous nous embarquons dans une galère sans nom pour évacuer une pseudo victime à l'aval du Fourchu. Le repérage réalisé avec Renaud m'avait pourtant laissé entendre qu'on allait en chier... Super ! A l'attaque ! Le barnum au petit matin Photo Fred B. - SophiTaupe Je retrouve les fêtards de la veille au PC, pour 7h45, heure d'arrivée demandée par notre CT. L'inertie du matin, le temps que tout le monde émerge et se présente à "l'accueil", les CT's constituent les équipes et nous font un topo de la situation cavité, répartition des ateliers et des équipes d'ASV et d'évacuation, temps de progression, radio pour l'équipe téléphone et les équipiers engagés qui les utiliseront, etc.. L'exercice débute vers 9h avec les premiers à partir l'équipe transmission en surface et l'ASV composée de nos responsables du SSF06 et des membres du GRIMP dont un médecin. Pour les équipes d'évac', nouveau brief plus complet et préparation du matériel. Je suis engagé dans la première équipe d'évacuation avec Chris D. notre chef, Paul, Mél, Nath, Jean Luc et Bélingo. Notre secteur la Grande Fendasse jusqu'à la base des puits. On ne fera pas partir la civière de plus loin vu que celle-ci ne passerait certainement pas à vide. Nous entrons sous terre vers 10h après un transport cheveux aux vents ! On se répartie les kits à la descente jusqu'à ce que ma bouteille se tape un vol plané dans le 2nd puits... une bouteille de moins pour la journée, chiottes... A la base du même puits, on dépasse l'équipe téléphone. Il semblerait que Michel n'ait pas fini de partager ses connaissances avec Perrine ! Arrivée à l'ex siphon, ce dernier n'a pas bougé depuis le repérage et ça refroidit les papattes quand on le traverse. Certains crient plus que d'autres ! L'équipe arrive ainsi dans la Grande Fendasse et notre chef établit le plan des opérations plusieurs binômes ou trinômes vont installer les divers ateliers de la tyrolienne. Avec un seul perfo et deux tamponnoirs, tout le monde n'est pas occupé... surtout quand l'un des tamponnoirs casse sous les coups d'une grande brute au grand cœur et finit au fond de la faille... La mise en place des ateliers traîne un peu, surtout à cause d'une reprise entre deux points où le répartiteur ne veut pas répartir ! Quand le clou du spectacle ne veut pas faire son boulot, ça n'aide pas... Et la victime arrive déjà vers nous ?!? Où est le téléphone d'ailleurs ? Ils étaient partis changer la ligne et on ne les a pas revu... On prend tous un bon repas avant d'attaquer l'évacuation je n'ai plus les heures en tête... mais il devait être 13h30 bien tapé. Chacun se positionne, se relaie, manipule pendant que la civière progresse à bonne allure. On déséquipe une partie des ateliers pour en équiper un autre, plus loin, installé par Jean-Luc en prévoyance. La victime semble à l'aise, décontractée, sauf quand on lui montre la paroi d'un peu trop prés ! On arrive à la voute tant attendue ! La civière passe au sec sur nos jambes, puis sur nos dos ou, pour Bélingo, sur la tête pendant qu'il se noie ! Ça a bien fait rire tout le monde ! On rejoint l'équipe d'évac II à la base des puits qui finit d'installer ses ateliers. On se pose quelques minutes jusqu'à ce que la civière puisse décoller. Une partie de notre équipe remonte obligation familiale ou fatigue tandis que l'autre va déséquiper ses ateliers et le téléphone. Avant d'attaquer les puits, on s'octroie une pause café et rigolade grâce à Bélingo ! Puis, on rattrape une petite partie de l'évac II qui nous file un coup de main avec les kits à sortir. Je ne sais plus quel micmac nous avons fait, mais on s'est bien mélangés et on a pu tout sortir facilement cordes de progression, ateliers, téléphone. On sort en dernier vers 19h30, une demi-heure après la civière selon les copains. Place aux affaires sèches, à la grande bouffe et au trajet cheveux au vent... trempés ! Merci à tous pour l'orga, l'énorme repas, la logistique et la bonne ambiance ! Je m'en retourne en Rhône Alpes... Le CR du SSF06 ici. Florian Fête de la Saint-Matthieu Présents Daniel et Mathieu TPST 4h40 L'infirmerie du GSV étant pleine à craquer, nous nous sommes retrouvés, Dada et moi-même, dans l'obligation d'organiser une sortie VIP. Aussi par discrétion, ni la cavité, ni le secteur, ni le découvreur ne seront indiqués dans ce compte-rendu. Nous sommes rentrés sous terre à 9h50. Nous enchainons de beaux puits jusqu'à -130m et Dada rajoute une corde à un endroit où celle en place était un peu courte. La base du dernier puits présente de beaux spécimens de rhyncholites, des coquilles et des oursins. C'est après que l'on rencontre vraiment le côté VIP de la sortie. La sélection étant impitoyable, nous mettons le matériel de progression sur corde dans le kit et nous nous remémorons les derniers échecs de nos acolytes en ce disant qu'on a bien fait de ne pas les avoir amenés. A un ressaut de 6m, une prise me reste dans la main à un mètre du sol, mais Dada a la délicatesse d'amortir ma chute. Plus de peur que de mal. Nous arrivons finalement à la pointe de l'exploration, qui est ma fois très prometteuse. Nous sommes de retour à la base des puits à 12h12 pour le repas. Et nous ressortons à 14h30. Mathieu Repérage à l'aval du Fourchu Présents Renaud CAF Martel, Florian GSV TPST moins de 4hOn se retrouve vers 9h20 à Pré du Lac avec Renaud ; l'objectif prendre un café ! Après avoir un peu papoté, on se décide à décoller en direction du Fourchu, le véritable objectif de la journée. Le but est d'y faire une séance de repérage en vue de l'exercice SSF de la fin du mois, d'enlever les cordes qui y sont à l'année et d'installer celles de progression. On se change tranquillement et on se répartie les kits. A l'entrée de la cavité, nous croisons Jo et son ami Pascal venus enlever les cordes de progression qu'ils utilisent à l'année. Ils nous ont devancé sur cet objectif et les réinstallerons après l'exercice. On discute un peu sur nos plannings respectifs et nous nous séparons pour attaquer la descente à 10h45. Renaud équipe le premier puits et je prend la suite. Je suis un peu trop généreux sur les boucles de fractio... à ce niveau là, ce n'est plus du confort mais de la gourmandise. On atteint le bas des puits en une heure environ ; on y laisse le surplus du matos et on prend la direction de l'aval, que je ne pas fais depuis plus de deux ans et Renaud depuis... au moins dix ans ? Dans mon souvenir, le parcours n'était pas très long et je laisse ma bouffe/eau au départ de la rivière pour tout laisser au sec ancien siphon. On entame la progression et l'évaluation de la cavité pour le passage d'une civière. Renaud fait des pauses régulières pour prendre des notes profil des passages, matériel et atelier nécessaires, temps de progression... Par exemple, la Grande Fendasse devrait offrir une belle tyrolienne. L'escalade suivante, précédant les deux ressauts de sept mètres, sera très certainement délicate avec la civière. Peut être faudra-t-il débrayer la victime ? On poursuit le parcours en prenant des bons coups de chaud que l'on atténue en faisant tremper les pieds. L'arrivée à la rivière des Courbettes nous permet de souffler un peu. La grande salle avant le siphon ferait un point chaud idéal pour l'ASV. Petit tour au siphon où Renaud retrouve une masse qu'il avait amené lors de l'exploration post-siphon. On l'embarque avec nous au retour pour dégager quelques blocs qui pourraient embêter la progression ; il est 13h et nous attaquons la remontée. Le trajet parait plus court dans ce sens mais la soif se fait sentir. Quelle idée de faire confiance à ses souvenirs aussi... On atteint la base des puits en moins d'une heure, en s'étant accordé une bonne pause à mi-parcours. On remonte dehors en une demi-heure et on est accueillis par un beau soleil, à 14h30. Bilan ça va être sympa d'évacuer la civière depuis l'aval ! Pour les participants, prévoyez d'être mouillés et à l'étroit lorsque la civière vous écrasera ! J'adore motiver les troupes ! Florian Embut de Rouaine Présents Dada, Mathieu & François GSV TPST 6h30Pour la sortie présidentielle/retraité de septembre, nous étions finalement trois à l’embut de Rouaine Dada, Mathieu, et moi. Dada a équipé et déséquipé le trou, nous sommes entrés a 10 h et sortie à trou est toujours aussi étroit et sélectif, aux passages exigus ! Ne l’ayant plus fait depuis huit ans, je ne me souvenais plus de sa difficulté. Je me suis arrêté vers – 125 au bas du puits de 8 m, n’ayant pu franchir l’étroiture du sommet du puits suivant de 9m. Il semblerait que j’ai pris du poids depuis ma retraite ! Il faudra faire un peu plus de spéléo et manger un peu moins !! Effectivement dans les puits, qui sont beaux du reste aucun problème, mais dans les étroitures, c’est une autre histoire ! Donc, comme je disais, Dada et Mathieu sont allés au fond - arrêt avant le boyau terminal - puis nous sommes ressortis, avec pour moi une grosse fatigue à la après un bonne nuit de sommeil ça va mieux. François Escalade au Cataphot Présents Chris ASBTP, Yo & Flo GSV TPST 5hSuite à notre sortie au Cataphot début Août CR ici, où Chris se questionnait sur l'escalade d'un puits du Réseau de l'Espérance, on décide de profiter de la douce fraicheur d'un samedi ensoleillé pour mettre en place l'opération "Cliffhanger" ! Pour l'occasion, un vieux spéléo rouillé du GSV se joint à l'aventure Yoann est seulement vieux par son manque de sortie, sinon il est jeune et en pleine forme. On se retrouve à Pré du Lac pour 8h. RDV tôt pour attaquer... assez tôt quand même, on n'a pas trop traîné cette fois. Un petit café en terrasse et on décolle sur Saint Vallier. On arrive à proximité de la cavité après 9h, on se change et croisons de nombreux randonneurs. Je ne savais pas que le plateau était tant pratiqués le week end... et certains d'entre eux ne savaient pas qu'il y avait tant de cavités sur la commune. Entrée dans la cavité à 10h ; comme la fois précédente, j'équipe les trois premiers puits et laisse ensuite l'affaire à Chris. On en profite pour montrer le S+0 à Yoann ; la corde de 8,5mm a tendance à filer vite dans le descendeur, même avec un stop. Pour le grand puits, j'ai braqué la plus longue corde de Dada qui, de ses aveux, était l'une de ses fidèles servante au Bois de la Malle une époque que je n'ai malheureusement pas connu .... 85m de corde passent nickel et je vois Chris tout petit en bas du puits... On se dirige vers le réseau de l'Espérance, préparons le matériel et Chris attaque l'escalade à 11h. Je reste en bas pour l'assurer durant son ascension pendant que Yoann fait le soutien logistique lumière, ambiance, papotage. Chris a fait la grosse erreur de nous filer un talkie-walkie si on avait besoin de communiquer... mais quand on file cet outil à deux grands enfants, ils ne font que s'amuser ! Au bout d'une heure, Chris n'a plus de matos et doit redescendre pour enlever les plaquettes et les dégaines. Il a déjà fait une grosse moitié du parcours dans une roche relativement bonne. Avant de faire la pause déjeuner à midi, Yoann et moi allons voir l'arrêt de l'escalade et ainsi jeter un œil sur le haut du puits. Après un café chaud et un sandwich, Chris reprend l'escalade. Il arrive à la tête du puits et s'arrête sur une faille impénétrable d'un côté, et sur une étroiture avec un bloc instable de l'autre. Derrière le bloc, il a vu sur un puits remontant d'environ 2mx2m avec un léger courant d'air. Mais ce bloc va clairement compliquer la tâche... et pose un danger certain. Chris sécurise son ascension et redescend en déséquipant la voie, vers 14h. On estime la remontée à une trentaine de mètres environ. Puis rangement du matos et on prend la direction de la surface. Chris s'étant bien dépensé à l'escalade, je déséquipe la cavité en me compliquant la tâche sur la vire. Je passe la tête dehors à 16h avec une bonne bouffée de chaleur. Retour aux voitures où l'on se change, prenons un petit café et papotons spéléo techniques, cavités, SSF, .... On revoit les multiples utilisations de la dyneema et on prévoit de se faire une classique sous peu. Départ de Saint Vallier après 18h... Florian Balade sur St Vallier Présents Chris ASBTP & Flo GSV TPST 4h On se retrouve à 8h30 à Pré du Lac, avec Chris, pour aller prospecter du côté de St Vallier. Le premier objectif est d'essayer de repérer le terrain au dessus du St Jo - Cataphot, ou au niveau des escalades du St Jo. Mais sur place, c'est un ancien terrain cultivé des restanques et encore des restanques... aucune chance de trouver une cavité ici... On prend la direction des différentes classiques du secteur en coupant à travers bois et champs, les yeux et le pif grands ouverts ! On vérifie quelques dolines mais rien n'apparait ; on salue le St Jo puis on passe par la Coccinelle et le 129-X8 et tombons sur le 129-50... cavité non inventoriée ? Petite faille colmatée marquée d'un triangle et d'une croix, il faudrait déblayer la terre et les feuilles pour s'assurer qu'il n'y ait rien. Pause déjeuner et petite bière à l'ombre. Avant de lever le camp, Chris s'aperçoit d'un petit départ derrière lui. Encore une fois, complètement colmaté et sans courant d'air. Il en sera de même pour les deux départs étroits suivants que nous verrons. Puis nous partons vers le Cataphot et vérifions deux autres ouvertures ; toujours pas de courant d'air... on se demande comment ont été trouvées les classiques du secteur. Retour à la voiture pour 14h où nous faisons un dernier détour pour que je montre l'aven du Petit Agneau à Chris. Le soleil cogne dur cet après-midi et l'envie de farniente nous gagne ! Les petits départs seront à vérifier mais c'est étroit et sans courant d'air... pas très encourageant. Florian Riou de la Bollène Présents Paul GSMagnan, Flo GSV + Roland TPEC 2h10Je finis le mois d'Août par le riou de la Bollène, en compagnie de Paul et Roland, un ami de la famille ayant déjà pratiqué le canyoning... il y a 13 ans. RDV à St Isidore à 9h30 pour covoiturer où Paul rigole en rencontrant mon invité référence au surnom du kit spéléo Roland - culé ; puis arrêt stratégique à la boulangerie des Trois Vallées où nous croisons un ami de Paul, membre du CAF de Cannes, qui nous valide que le canyon passe très bien en ce moment. On arrive au parking aval de la Bollène avant 11h ; il n'y a qu'une voiture en navette, on ne devrait pas croiser beaucoup de monde aujourd'hui. Des chaussures flinguées sont enroulées sur le câble électrique, ce canyon est-il abrasif ? On m'a pourtant prévenu qu'il glissait beaucoup... Au parking amont, quatre voitures sont garées. Ce pourrait être un gros groupe de canyoneurs ou des randonneurs. En tout cas, ça cogne et on va vite se mettre à l'ombre pour la courte marche d'approche. Le riou a un débit correct et le niveau est assez élevé pour la saison, Paul s'attendait à y voir beaucoup moins d'eau. On se change, on mange une barre céréale et on enkite les cordes pour commencer à se glisser dans l'eau fraîche à 11h50. On a vite confirmation des avertissements concernant l'adhérence... ça glisse sévère ! Attention aux appuis, ça serait bête de se faire une cheville maintenant... Les premiers obstacles se passent très bien en sautant, glissant ou en désescalade. On progresse à bonne allure et on arrive rapidement aux deux gros sauts/toboggans du parcours une C13 et le fameux toboggan de 15m ayant fait la réputation du canyon. Sur la première, Paul et Roland sautent en assurant bien leurs appuis. Le sac de Roland n'a pas supporté le choc et s'est complètement déchiré... Pour ma part, je ne me sentais pas de faire ce saut avec la roche glissante ; toboggan à fond la caisse en écartant bien les bras sur la fin... il faut que je perde cette habitude. Vient le grand toboggan où Paul souhaite nous faire utiliser la corde pour descendre jusqu'à une margelle pour sauter. Il y a déjà été témoin d'un accident et des hélicoptères y interviennent régulièrement pour évacuer un blessé. Autant ne pas prendre de risque et profiter de l'occasion pour revoir la mise en place d'une MC en canyon. On continue le parcours en croisant de temps à autre des détritus tambour de machine à laver, moteur, pneu, ... et une bouteille... tiens, c'est pas celle de Roland ? Ah oui, son sac s'est encore plus déchiré ! Adieu sac scolaire de ses enfants... Le travail géologique est remarquable par endroit et l'eau claire, oscillant entre le vert et le turquoise, offre une très belle visibilité avec des jeux de lumière sympathique la réverbération du soleil offre des scintillements dansant sur les parois. On arrive malheureusement à la dernière cascade très esthétique avec les rayons du soleil qui s'engouffrent juste dans l'ouverture. On finit le canyon vers 14h, en ayant croisé personne c'est tellement rare. On se change, grignotons un peu et repartons. La marche retour est très agréable à l'ombre des arbres et ça papote boulot. Vêtements secs, déjeuner et soleil au parking aval. On fait la navette et dur retour sur la Côte avec ce cagnard... Florian Suite des travaux secrets... Présents Alex, Paul, Perrine GSMagnan & Dada, Flo GSV TPST 4h Comment dissimuler un cadavre Suite à son annulation mercredi dernier faute de maladie, Paul a rechargé ses batteries à fond et voulait en découdre avec cette nouvelle cavité. On décide donc d'y poursuivre les travaux, entamés la semaine dernière cf CR travaux & l'espagnol du Garagai. Perrine se joint également à la partie et son petit gabarit pourrait nous être avantageux. Plus l'expertise de Dada ! On se retrouve tous à 9h pour entamer l'heure de marche d'approche. Le vent de la nuit nous offre une superbe vue dégagée où l'on aperçoit la Corse. On prend un autre chemin que la dernière fois, histoire de mettre du piment à l'aventure toujours en suivant le GPS, à travers monts et forêts. On perd presque une partie du groupe à force de passer n'importe où. Sur place, on attaque rapidement les travaux vu qu'il faudra décoller vers 14h. Dada évalue la situation et on déblaie un peu avant d'entamer les tirs. Paul est bien content d'avoir invité Dada vu qu'il a pris la mauvaise batterie pour le perfo. Il est encore plus content quand il s'aperçoit que ses pailles ne fonctionnent pas... mauvaise qualité de marchandise ? Pas facile de bosser à cinq autour d'une petite faille... Paul et Dada prenant le dessus faibles que nous sommes... nous n'avons osé contesté leur supériorité numérique. On fait plusieurs tirs et beaucoup de coups de massettes pour élargir le puits et le stabiliser. Petit casse-croûte à l'ombre, à tour de rôle. A 12h30, on envoie Perrine se préparer pour lui laisser le privilège de faire la première ! Ça n'arrive qu'un fois dans une vie ! Paul l'assure en surface pendant qu'elle désescalade. Arrivée dans une petite salle avec une suite peu évidente une ouverture légèrement ventilée de la taille du poing. Le sol étant rempli de terre et de blocs que l'on a balancé. Alex va voir à son tour et nous remonte quelques clichés pour avoir une idée de la bête. Ça ne sera pas évident de continuer à y bosser il faut sécuriser totalement le puits d'entrée, vider les gravats du fond pour ensuite attaquer une étroiture ne laissant pas apparaître de gros volume... Mais pour l'heure, il faut y aller ! Paul a RDV et c'est infernal de creuser sous ce soleil ! Toute notre eau y est passée... Et pour finir cet article avec joie et enthousiasme c'est le 100ème CR du blog !!! Bonnes explos à toutes et à tous ! Florian

LASEMAINE ÉCONOMIQUE COMTOISE n° 1258 du 20 avril au 17 mai 2018 À la Une DES SOLUTIONS POUR LES COMMERCES DE CENTRE-VILLE Pays de Montbéliard - Une loi pour soigner les bourgs centres malades BALTHAZARD (Jacques). L'EST REPUBLICAIN, 21/04/2018 Extrait : «Alors que le pays de Montbéliard se braque contre un projet de galerie commerciale à
Beaucoup de guitaristes débutants ont des problèmes pour faire sonner chaque note de chaque corde proprement. Les personnes ayant de petites mains se plaignent que leurs mains sont trop petites. Les personnes ayant de grandes mains se plaignent que leurs mains sont trop grosses. J’ai vu d’énormes mecs jouant du ukulélé et des femmes minuscules jouant des guitares jumbo Gibson géantes. Donc, quelle que soit la taille de vos mains, ces dernières vont pouvoir fonctionner correctement avec ces quelques conseils utiles. Voici les conseils utiles Important Comme tout un chacun avec une guitare , il s’agit de développer les muscles de vos mains. Pratique et patience sont les maitres mots. Ces conseils ne sont pas un tour de magie avec effets immédiat, mais ils vont rendre le processus plus rapide. Mais vous allez voir que la patience est une qualité importante pour faire ces petits exercices à maintes reprises afin que vos doigts apprennent où ils sont censés être. Je pense que chacun d’entre nous à un moment ou un autre aurait volontiers jeté sa guitare par la fenêtre au bout de la 10e tentative alors que ce satané accord de Fa sonne encore comme une casserole. Quand la frustration s’installe, faites une pause pendant quelques minutes et recommencez. Il y a seulement 3 raisons qui font qu’une note ne sonne pas proprement – Votre doigt n’appuie pas assez fort – Votre doigt est sur la frette – Un doigt touche la corde en dessous Regardons quelques façons d’éviter ces problèmes … 1 . Travaillez sur seulement deux cordes à la fois. Si vous jouez une chanson qui a 6 ou 8 accords, vous allez devenir fou à essayer de les apprendre tous en même temps. Sélectionnez seulement deux accords et passez de l’un à l’autre jusqu’à ce que chacun sonne proprement . Ensuite, passez aux accords suivants. Pour de meilleurs résultats, chevauchez vos paires d’accords. Exemple Votre progression d’accords est C G7 Am F. Travaille la paire d’accords C et G7 puis G7 et AM, puis Am et F et F et C. 2 . Assurez-vous que vos doigts sont aussi près de la frette que possible. Il y a parfois confusion à ce sujet. Donc, pour être clair, je parle de la frette qui est immédiatement supérieur sur le manche par rapport à l’endroit où le doigt est posé . Donc, si vous jouez une note sur le 2ème case, votre doigt doit être tout contre la 2e frette et non pas la première. Vous ne serez pas toujours en mesure de positionner chaque doigts contre la frette lorsque vous jouez un accord, mais essayez de vous en approcher autant que possible. Quelle que soit la case où vous êtes, vous devez appuyer pour presser la corde contre la touche. Sinon, vous obtiendrez un son bourdonnant au lieu d’une note propre. 3 . Assurez-vous que vous appuyez assez fort. Cela peut sembler évident, mais j’ai eu de nouveaux élèves qui ne se rendaient pas du tout compte qu’ils devaient presser les cordes. Si vous avez correctement positionné vos doigts et que vous obtenez toujours une note morte ou “Buzzy” , parfois un peu de pression supplémentaire suffira. Il n’est pas nécessaire d’appuyer super dur si le reste de votre main est dans la bonne position , comme vous le verrez dans la prochaine étape . Mais si vous sentez que vous avez besoin de travailler sur la force de vos mains, vous pouvez vous exercer. Au lieu d’acheter un de ces accessoire couteux dédié au guitariste pour vous muscler la main, allez dans dans un magasin d’articles de sport au rayon tennis. Vous devriez être capable de trouver une boule en mousse qui ne coûte que quelques euros. C’est un peu plus efficace que d’utiliser simplement une balle de caoutchouc ou quelque chose qui ne garde pas les doigts dans une position relativement “guitaristique”. 4 . Assurez-vous que votre pouce est dans la bonne position . Ah , le fameux pouce … Une position du pouce incorrect peut saboter tout ce que vous essayez pour nettoyer vos accords. Le plat de votre pouce doit être posé sur l’arrière du manche, plat et pointé vers le plafond. Il peut se déplacer légèrement de corde à corde , mais c’est la meilleure position par défaut. NE PAS utiliser l’une des positions du pouce suivantes Un pouce qui surgit au-dessus du manche. Plus tard, nous allons l’utiliser pour les bends, mais pas maintenant. Avoir votre pouce qui dépasse sur le haut signifie que vous utilisez les petits muscles à la base de vos doigts pour appuyer à la place du muscle géant attaché à votre pouce. Vous travaillez trop dur! Si quelqu’un vous regarde jouer de face et qu’il aperçoit votre pouce, c’est que ce dernier est probablement trop haut. Pouce pointant vers la tête de la guitare. Ce genre de mouvement, où toute votre pouce est posé sur la longueur du manche, inhibe le mouvement de vos doigts de façon drastique. Gardez le pointé vers le plafond pour gagner en étirement et mobilité. Un pouce plié à la première articulation. Une flexion de l’articulation va changer l’angle de votre paume et des doigts de manière à rendre les choses plus difficiles . Assurez-vous de garder le pouce droit. 5 . Utilisez le bout de vos doigts , et non les coussinets. Vous devez utiliser la plus petite et la plus dure partie de votre doigt pour appuyer sur les cordes. C’est la pointe où vous allez développer un bel ensemble de cales plutôt que le coussin spongieux de votre doigt. Associés à cette idée, il est nécessaire de s’assurer que vos doigts sont arqués comme un crochet . Pas de doigts droits ou plats. Toujours la dernière phalange le plus possible en angle droit et servez vous du bout de vos doigts. Vous devriez être capable de glisser un crayon sous la voûte de vos doigts si vous le faites correctement. 6 . Vérifiez chaque note à chaque corde pour s’assurer qu’elles sont propres. Tout en maintenant la totalité de l’accord, décomposez chaque note individuellement pour s’assurer qu’elle est propre . Lorsque vous trouvez un son sourd, repositionnez le doigt sur cette corde ou celui d’à côté s’il frotte juste assez pour obtenir un son propre. Il s’agit de la portion de patience réelle de votre pratique. Quand vous ajustez un doigt vérifiez de ne pas détraquer d’autres notes. Continuez à ajuster chaque note jusqu’à ce que tous les doigts soient au bon endroit et l’accord est propre. Ensuite, relâchez l’accord et recommencez. Vous voulez que ce processus aille plus vite ? Effectuez cette opération avec les yeux fermés . Nous naviguons sur le manche par le toucher et non pas par la vue. Et finalement, vous serez en mesure de nettoyer une note étouffée juste par la sensation sous vos doigts. Vos doigts sont le deuxième partie la plus tactile de votre corps . Je suis sûr que vous pouvez deviner où se trouve la première … et de fermer les yeux permettra d’améliorer votre sens du toucher. Donc, faire ces ajustements avec les yeux fermés va encore engager à la fois les lobes pariétal toucher et l’occipital visuel de votre cerveau. 7 . Pratiquez d’abord avec des accords partiels. Ce n’est pas mon astuce préférée, mais ça fonctionne pour certaines personnes. Si vous travaillez sur, disons, un accord de do majeur, en essayant d’obtenir seulement les 4e et 5e cordes propre d’abord, sans se soucier du reste de l’accord. Ensuite, ajoutez la 3ème corde. Puis la 2ème et la 1ère. La raison pour laquelle je n’aime pas particulièrement cette idée , c’est que chaque fois que vous ajoutez un nouveau doigt , il modifie légèrement la position des deux autres et vous devez presque tout recommencer. Mais pour certaines personnes, cela fonctionne bien. Ces deux conseils sont spécifiquement pour la position accords fermés barre . 8 . Tournez votre premier doigt index sur ??le côté. Sur un barré , votre premier doigt a beaucoup de travail à faire. Au lieu d’appuyer avec le plat de votre index la partie inférieure qui est molle , tournez-le légèrement en direction de la tête , utilisez le côté dur de votre doigt. Cela devrait également donner un peu plus de mobilité à vos autres doigts. 9 . Commencez avec des accords plus haut sur le manche et travaillez en allant vers le bas. Une partie de la raison pour laquelle l’ignoble accord de F est plus difficile parce que c’est juste à côté du sillet de tête où la tension de la corde est la plus élevée. Donc, presser les cordes devient beaucoup plus difficile. Commencez par pratiquer les accords barrés plus haut sur le manche à la 5ème ou 7ème frette où les cordes sont un peu plus facile à presser. Ensuite, travaillez en allant progressivement vers la 1ère frette. 10 . La patience est la première qualité du musicien. Si vous avez été patient sur une période de plusieurs semaines de travail sur le sujet et que vous n’êtes toujours pas en mesure d’obtenir un bel accord avec un son clair , il y a quelques choses que vous pouvez essayer. Si vous rencontrez des difficultés appuyant pour presser les cordes, vous pouvez essayer un calibre de cordes plus léger. En fonction de votre guitare, vous devrez peut-être faire effectuer un réglage du manche après la pose d’un nouveau jeu. Si vous n’arrivez toujours pas à positionner vos doigts de façon à ce qu’ils ne touchent pas les autres cordes, vous pouvez essayer une guitare avec un manche large. Cela vous donnera un peu plus d’espace entre les cordes. Au-delà de ces 10 conseils , l’ ingrédient le plus important , c’est la patience . Lorsque vos doigts et votre cerveau se fatiguent , laissez-les se reposer pendant quelques minutes , faites autre chose, et ensuite revenez à votre guitare. N’abandonnez pas. Toutes les mains sont un peu différentes et ont toutes besoin d’expérimentation pour se positionner au bon endroit . On ne s’attendrait pas à être en mesure de réussir 3 panier avec un ballon de basket à chaque fois du premier coup, sans beaucoup de patience et de pratique . Votre guitare n’est pas différente. Vous pouvez le faire . Il suffit de continuer à le faire. Revenir au sommaire
VéritableCorde NON paraffinée pour ancienne comtoise (écru) Paire de corde pour horloge comtoise. Longueur d’une corde : 2.20 mètre. Quantité : 2 cordes. Diamètre : env. 2,5 mm. En lin tressé. Fabrication Française. EAN : 3664315001496. elles peuvent supporter jusqu'a 4-5 Retenez le cadran de l’horloge d’une main et servez-vous de l’autre pour tourner lentement la clé. Essayez de la tourner dans les deux sens et voyez le sens qui fonctionne le mieux. Chaque horloge peut se remonter soit dans le sens des aiguilles d’une montre, soit en sens inverse.. Comment régler l’alarme d’un réveil à aiguille ? Tenez l’horloge face à vous et vous trouverez des boutons ou des touches pour régler l’heure et l’alarme. Il y a généralement trois boutons en tout un pour l’aiguille des heures, un pour l’aiguille des minutes et le troisième pour le réglage de l’alarme. Remettez l’horloge à l’heure. Comment remonter un carillon Odo ? Les 2 trous sur les côtés concernent la sonnerie le trou de gauche est fait pour remonter la sonnerie des quarts d’heure. Le trou de droite sert à remonter la sonnerie des heures. Cela signifie que si vous souhaitez que votre carillon reste silencieux, il suffit de ne pas remonter les sonneries, à gauche et à droite. Comment régler l’alarme d’un réveil mécanique ? il faut mettre l’aiguille approximativement là où se trouverai la petite » aiguille à l’heure que vous désirez. Par exemple, si vous voulez que ça sonne à 7h30, vous positionnez l’aiguille de l’alarme entre 7h et 8h. Comment régler l’heure d’un réveil ? Pour régler manuellement un réveil, il vous suffit de vous diriger dans votre liste d’applications et de choisir Horloge ». Comme vous pouvez le voir, vous avez plusieurs choix devant vous Alarme, Horloge, Chronomètre et Minuteur. Comment utiliser un réveil mécanique ? Un réveil mécanique est un réveil qui est doté d’un mouvement qui se remonte régulièrement. Equipé d’un ressort, le remontage apporte la puissance nécessaire pour faire tourner le mécanisme qui engrène » les aiguilles. Comment marche un réveil mécanique ? Les réveils mécaniques reposent sur le fonctionnement d’un dispositif de mouvement perpétuel sans pile électrique. Le mouvement est constitué d’un assemblage de roues, de vis, de ressorts, de goupilles pour former un étrange et fascinant puzzle. Comment baisser le volume d’un réveil ? Ouvrez l’application Google Home . Appuyez de manière prolongée sur la tuile de votre appareil. Alarmes et minuteurs. Réglez le volume. Comment utiliser un réveil matin ? Régler l’heure Un bouton de réglage de l’heure et un bouton de réglage de l’alarme. Le bouton de réglage de l’alarme est surmonté d’une petite cloche. Tout d’abord, réglez l’heure. Tournez le bouton jusqu’à ce que les aiguilles des heures et des minutes sur le cadran du réveil affichent l’heure correcte. Une corde mal enroulée peut provoquer l’arrêt de l’horloge. Il suffit alors de tirer légèrement sur le poids pour débloquer le chevauchement des deux brins. Lorsqu’elle est trop usée, effilochée ou à fortiori cassée, la corde doit être remplacée par une corde neuve de même diamètre. Comment changer l’heure sur un réveil snooze ? SNOOZE/TOUCHE LUMIERE -Quand l’alarme snooze bipe, pressez la touche SNOOZE/LIGHT pour faire une pause de 5 minutes et la fonction snooze sera répétée. Pour stopper la fonction snooze, pressez une autre touche. -Pressez la touche SNOOZE/LIGHT pour illuminer l’écran LCD pendant 3 secondes. Pourquoi le pendule s’arrête ? Deux causes d’arrêt sont alors possibles La pendule est mal calée son tic-tac n’est pas régulier et la perte d’amplitude du balancier fait que son angle de fonctionnement devient inférieur à l’angle de marche. Voir rubrique précédente. Comment débloquer une horloge ? Une fois retiré le boîtier, il faut ouvrir le couvercle, qui est serti, à l’aide d’un petit tournevis. Le ressort apparaît dans le cylindre. Il faut alors raccrocher le ressort à l’ergo placé sur l’axe, si nécessaire en redonnant à l’extrémité centrale du ressort la forme de l’axe à l’aide d’une pince longue et fine. Comment fonctionne un réveil ? La majorité des réveils analogiques sont équipés de deux cloches en métal sur le dessus de l’appareil et d’un petit marteau entre les deux, qui tape sur les cloches pour produire un son fort driiiinng » que l’on connait tous . Comment fonctionne snooze ? Lorsque l’utilisateur l’active au moment où son réveil sonne, celui-ci retentit à nouveau quelques minutes plus tard de manière automatique. Et cela, de manière répétée tant que la fonction n’est pas désactivée. D’où le terme snooze », qui signifie roupillon » ! C’est quoi la fonction Snooze ? Snooze roupillon, petit somme, dit le dictionnaire anglais-français. Un mot qui évoque la fonction des réveils, qui permet d’offrir un petit rab de 10 minutes au lit… quand ce n’est pas plus. Comment mettre à l’heure un réveil Bigben ? Maintenez appuyée la touche ALARM SET et appuyez sur HOUR pour ajuster l’heure de votre réveil et/ou sur MINUTE pour ajuster les minutes de l’heure de réveil souhaitée. Comment fonctionne le balancier d’une comtoise ? Elles sont animées par un mécanisme d’horloge appelé le balancier comtoise, lié à un bras oscillant, toujours mécanique. Vous remarquerez que sont disposés 2 trous de part et d’autre du cadran. Celui de gauche servira à remonter le mécanisme qui donne l’heure et le trou de droite vous permettra de remonter la sonnerie. Quel est le prix d’une horloge comtoise ? Les prix des horloges comtoises dépendent donc des facteurs énumérés ci-dessus et se situent entre 25 € et 19 000 €. Pourquoi le balancier d’une comtoise s’arrête ? Deux causes d’arrêt sont alors possibles La pendule est mal calée son tic-tac n’est pas régulier et la perte d’amplitude du balancier fait que son angle de fonctionnement devient inférieur à l’angle de marche. Voir rubrique précédente. Comment fonctionne l’horloge à balancier ? Fonctionnement d’une horloge à balancier Le dispositif est généralement réglé de sorte qu’une oscillation fasse le plus exactement possible 2 secondes. Ainsi, en bloquant les dents de la roue d’échappement après chaque demi-oscillation chaque seconde et en transmettant le mouvement à la trotteuse. Comment accrocher le balancier d’une comtoise ? Ouvrez les trois portes du haut de votre comtoise, posez le mécanisme sur son support , centrez le , accrochez les poids si l’un est plus lourd que l’autre, le mettre à droite côté sonnerie , puis accrochez le balancier à sa tige. Comment remonter une horloge à balancier ? Pour remonter l’horloge, il suffit de placer la clé, ou la manivelle, dans le point de remontage et de tourner de seize tours dans le sens des aiguilles d’une montre. Lorsque l’horloge est complètement remontée, un mécanisme interne vous empêchera de la remonter davantage. Comment savoir si j’ai un carillon Odo ? On peut voir sur la vitre du dessous qu’il y a toujours l’inscription ODO d’origine de l’usine lors de sa fabrication. Comment régler le balancier d’un carillon ? Comment régler le balancier d’un carillon ? L’avance et le retard se règlent sous la lentille du balancier. Si la pendule retarde, il faut visser l’écrou placé sous la lentille du balancier ; si la pendule avance, il faut dévisser la lentille du balancier. N’oubliez pas de partager l’article !
Commentchanger les cordes d'une guitare. Notedcrisp. Follow. 7 years ago. Comment changer les cordes d'une guitare. Report. Browse more videos. Browse more videos
sur le site Une conscience dans l’ADN… Le dernier modèle théorique qui retiendra notre attention relève de la biologie, plus exactement de la biologie moléculaire. On le doit à Jeremy Narby, cf Clés un Suisse d’une quarantaine d’années, qui a passé son doctorat d’anthropologie à l’université Stanford, en Californie. Lors d’un séjour d’étude de plusieurs mois en Amazonie, au contact des Ashanincas du Pérou, son intérêt s’était porté vers les plantes utilisées en médecine traditionnelle par les curanderos guérisseurs et vers celles, aux effets hallucinogènes, employées par les chamans dans leur mystérieux commerce avec les esprits. Ces mêmes chamans certifiaient qu’elles étaient la source du savoir indigène relatif aux propriétés pharmacologiques des végétaux de la forêt amazoniennes, entre autres enseignements. Lui-même avait eu l’occasion d’éprouver les effets de l’ayahuasca. Ce qu’il expérimenta, au cours de son incursion dans la vraie réalité des Indiens ashanincas, ne cessera de l’intriguer des années durant. Après une succession de visions hétérogènes, il se trouva cerné par deux gigantesques boas de douze à quinze mètres de long, une hallucination » récurrente dans la transe induite par l’ayahuasca [1] Ces serpents énormes sont là, j’ai mes yeux fermés et je vois un monde spectaculaire de lumières brillantes, et au milieu des pensées brouillonnes, les serpents commencent à me parler sans mots. Ils m’expliquent que je ne suis qu’un être humain. Je sens mon esprit craquer, et dans la faille, je vois l’arrogance sans fond de mes a priori. Il est profondément vrai que je ne suis qu’un être humain, et que la plupart du temps, j’ai l’impression de tout comprendre, alors qu’ici, je me retrouve dans une réalité plus puissante que je ne comprends pas du tout et que je ne soupçonnais même pas, dans mon arrogance, d’exister… Ce rappel à l’humilité de notre condition humaine servira de déclencheur à une longue quête. Quelle est l’origine de ses serpents, de leur omniscience ? Car en effet, d’après les Indiens, c’est bel et bien de leur esprit que provient la connaissance des vertus médicinales des plantes de la forêt. Épurant les bibliothèques, contactant à l’occasion les spécialistes des domaines qu’il explore au fil de ses lectures, Narby se lance dans un long travail de recherche. L’étude des mythes lui rappelle que le serpent est un animal-symbole universel. On le retrouve dans les mythes de création qui ont vu naître la plupart des civilisations des Aborigènes d’Australie aux grecs de l’Antiquité, des dynasties égyptiennes aux Incas. Le serpent est partout présent, sur tous les continents, même dans les régions où ce reptile n’est pas répertorié dans la faune locale. Mais plus encore, on en rencontre souvent une représentation double deux serpents entrelacés, comme on le relève aujourd’hui encore dans certaines images du caducée médical. Il constate par ailleurs que les chamans évoquent quasi systématiquement, en guise de lien entre eux et les esprits, des échelles, des lianes, des cordes célestes… Toutes choses en rapport étroit avec la notion d’axis mundis l’axe du monde de Mircea Eliade, qui permettent d’accéder à l’au-delà et au savoir chamanique. C’est alors qu’il se souvient de son séjour au Pérou, lorsque l’un des chamans lui avait affirmé que la nature parlait par signes, laissant entendre qu’il fallait s’attacher à débusquer les correspondances au niveau de la forme. Et s’il le prenait au mot ? Un double serpent enroulé, une échelle de corde… À quoi cela pouvait-il faire penser..? Peu à peu la forme se dévoile et soudain c’est le déclic ! Il s’agit là, c’est l’évidence, de représentations symboliques de la double hélice d’ADN, présente dans le noyau des cellules de tous les être vivants. Et il n’avait même pas relevé, jusque là, que la Banisteriopsis caapi elle-même, la principale plante qui entre dans la composition de l’ayahuasca, était une liane double, torsadée, localement baptisée échelle vers la Voie Lactée ou liane de l’âme. Sa forme figurait sans conteste, elle aussi, la double hélice d’ADN. L’anthropologue se laisse happer par ses réflexions Dans leur transe, les chamanes arrivent en quelque sorte à réduire leur conscience au niveau moléculaire. C’est ainsi qu’ils apprennent à combiner des hormones cérébrales avec des inhibiteurs de monoamine oxydase, ou qu’ils découvrent quarante sources différentes de paralysants musculaires alors que la science n’a su qu’imiter leurs molécules. Quand ils disent que la recette du curare leur a été donnée par des êtres créateurs de la vie, ils parlent littéralement. Lorsqu’ils disent que leur savoir vient des êtres qu’ils voient dans leurs hallucinations, leurs mots signifient exactement ce qu’ils veulent dire. » Plus déterminé que jamais, Narby s’initie aux arcanes de la biologie moléculaire afin d’y rechercher les points d’ancrage susceptibles de conforter son intuition. Il sait déjà que la molécule d’ADN est présente dans tout les règnes du vivant. Il sait également que ses constituants, son mode de réplication et sa fonction essentielle, fabriquer les protéines nécessaires à la vie de l’organisme, sont identiques quelle que soit l’espèce considérée. Il découvre surtout que cette longue molécule est infiniment plus complexe qu’il ne l’imaginait. Bien trop complexe pour avoir émergé toute seule du chaos initial, de cet environnement hostile de la genèse de notre planète. Comme d’autres, il se laisse séduire par l’idée d’une origine cosmique, conformément à la théorie de la panspermie de Francis Crick, co-découvreur de l’ADN, qui prône un ensemencement terrestre par des acides aminés et des molécules d’ADN primitif déjà élaborés quelque part dans l’univers. D’ailleurs, la complexité de cette double hélice est telle que pas un seul calcul de probabilité ne lui laisse la moindre chance d’apparaître sur notre planète en un intervalle de temps aussi bref, environ 600 millions d’années tout de même, que celui qui sépare le refroidissement suffisant du magma terrestre de l’apparition des premières formes de vie bactérienne. Peu à peu, Narby se persuade que l’ADN n’est pas seulement le socle du vivant, mais qu’il en est aussi la mémoire intégrale. En effet, seuls les gènes, une très faible partie de la molécule — 1 à 3 % selon les estimations —, sont pourvus d’une fonction bien définie. Que renferme alors tout le reste, ces longues suites de bases non codantes dont on trouve de nombreuses répétitions introns à l’intérieur même des gènes ? Sinon une gigantesque banque de données relative à l’ensemble du vivant ? Intuition assez logique, finalement, puisque toutes les espèces partagent cet ADN en commun, tel un catalogue exhaustif des formes de vie de la nature, dont chacune n’utilise explicitement que la partie qui la concerne. L’origine du savoir indigène devient plus compréhensible encore si l’on s’intéresse de près aux principes actifs de certains hallucinogènes. Quelques-uns, en effet, possèdent un air de famille avec des neurotransmetteurs connus pour stimuler l’activité de l’ADN, comme la sérotonine par exemple voir au chapitre 10 le schéma de la note 11. Ainsi, plusieurs types de récepteurs sérotoninergiques, présents à la surface des cellules, captent les molécules de DMT diméthyltryptamine, un des alcaloïdes majeurs de l’ayahuasca. Sous l’influence de la DMT, des passages habituellement non codants de l’ADN pourraient alors révéler leur secret et dévoiler un champ de conscience d’une dimension insoupçonnée. Sachant aussi que cette molécule de la vie est un formidable émetteur-récepteur de photons, toute proportion gardée, l’accès à cette présumée conscience de l’ADN se traduirait forcément par une vision de couleurs et de lumières particulièrement intenses et du meilleur réalisme. Ce que vérifient, en ce cas, nombre de descriptions d’états modifiés de conscience. D’autre part, l’ADN, qui se comporte comme un système électromagnétique de faible intensité, émet un rayonnement de fréquence élevée. Dans un passé relativement récent, partant de cette propriété, certains biologistes n’avaient d’ailleurs pas hésité à évoquer l’idée d’une biocommunication reliant toutes les cellules d’un organisme, voire divers organismes entre eux, plantes ou animaux. Si l’on fait l’hypothèse que les chamans indiens, grâce à la DMT, parviennent à se mettre en phase avec la longueur d’onde de la conscience » moléculaire de l’ADN, comme le suggère Narby, l’origine de leur connaissance de la pharmacopée amazonienne pourrait relever également de cette biocommunication. Il va sans dire que ce bref exposé reste des plus schématiques alors que le travail de Jeremy Narby, en revanche, est solidement argumenté et documenté. Le propos aura cependant permis de mesurer la portée exceptionnelle de l’étude de cet anthropologue audacieux ; une étude sur laquelle les secteurs compétents de la science génétique, biologie moléculaire, biophotonique, etc. seraient bien inspirés de se pencher. [1] Le serpent cosmique, page 14, Georg Éditeur, Coll. Terra Magna, 1999. Jérémy Narby est licencié en histoire de l’Université de Canterbury et docteur en anthropologie de l’Université de Stanford. Auteur du Serpent cosmique, éditions Georg, 1995, il travaille pour l’organisation d’entraide Nouvelle Planète. —— Les humains sont-ils les seuls à posséder une intelligence et à prendre des décisions rationnelles en toute autonomie ? Dans Intelligence dans la nature, Jeremy Narby montre que les bactéries, les plantes, les animaux et les autres formes de vie non humaines font preuve d’une étonnante propension à prendre des décisions déterminant leurs actions. Au cours d’un voyage extraordinaire, il nous emmène à travers le monde – de la forêt pluviale aux laboratoires hi-tech – dans un ébouriffant dialogue avec des guérisseurs traditionnels et des scientifiques de pointe explorant les sciences du vivant. Des moisissures visqueuses unicellulaires peuvent résoudre des labyrinthes. Les abeilles, dont le cerveau a la taille d’une tête d’épingle, font usage de concepts abstraits. Les plantes parasites, appelées ” cuscutes “, peuvent juger correctement le contenu nutritionnel de leurs victimes et décider s’il convient de les exploiter ou s’il leur faut chercher ailleurs. Que dire, et comment nommer ces comportements ? Jeremy Narby a changé notre façon de comprendre les cultures et traditions chamaniques en publiant le livre Le Serpent cosmique, l’ADN et les origines du savoir. Il y révélait la capacité de savoir contenue dans la Nature, telle qu’elle est connue dans les sociétés indigènes. Continuant le voyage sur les nouvelles frontières de la science, il propose, dans cette originale exploration, une conception du monde interprétée par le langage de la science corroborant celle des chamanes. Son écriture narrative et rigoureuse nous offre une réflexion sur des questions essentielles, telle la nature de la Nature et nos rapports avec celle-ci. En tant que prédateurs convaincus de notre supériorité, nous avons des rapports difficiles avec notre environnement naturel. Ce livre invite à la réconciliation. ——- biologie des croyances Bruce Lipton– date de publication 7 septembre 2006 Série Médecine du Futur Cet ouvrage constitue une percée dans le domaine de la nouvelle biologie. Cette synthèse des dernières recherches les plus poussées en biologie cellulaire et en physique quantique est profondément porteuse d’espoir et acclamée comme une découverte majeure prouvant qu’il est possible de changer notre corps en modifiant notre façon de penser. L’auteur, un biologiste cellulaire de grande renommée, décrit les voies moléculaires précises qui en sont responsables. Dans un langage simple, avec des illustrations, un soupçon d’humour et des exemples de tous les jours, il démontre comment la nouvelle science de l’épigénétique vient révolutionner notre compréhension du lien qui existe entre l’esprit et la matière, ainsi que les effets profonds de ce lien sur nos vies personnelles et la vie collective de notre espèce. ——- Le Génie dans vos gènes Dawson Church – date de publication 11 septembre 2013 L’épigénétique, qui étudie l’influence de l’environnement et de notre histoire individuelle sur l’expression de nos gènes, est une toute nouvelle branche de la science qui promet une révolution en matière de santé et de mieux-être. Nous pensions que notre ADN déterminait une grande partie de nos comportements et de nos caractéristiques physiques. Or, de nouvelles et passionnantes recherches scientifiques démontrent que de nombreux gènes sont quotidiennement activés ou désactivés par nos croyances, nos émotions et nos attitudes. Chacune de nos pensées se propage comme une onde dans tout notre corps, affectant notre système immunitaire, notre cerveau et notre système hormonal. Ce livre qui s’appuie sur plus de 300 études scientifiques montre comment parvenir à maîtriser notre santé et notre bien-être par des pensées et des émotions qui élèvent notre niveau de vitalité et de bonheur. Maintenant, avec les informations dévoilées dans cette étude, nous aurons la possibilité de modifier nos gènes pour améliorer radicalement notre vie. Laissons-nous tenter par la magie de l’épigénétique et nous serons époustouflés par ses bienfaits ! ” Parfois de temps à autre, un grand livre met en évidence des liens entre des domaines apparemment déconnectés de la science pour produire une nouvelle et brillante synthèse. Ce travail, mettant en relation la génétique, l’électromagnétisme, la médecine et le changement social, est un exploit monumental d’érudition et d’imagination, qui donne un aperçu fascinant des passionnantes possibilités qui nous attendent”. Gary Craig, créateur de I’EFT Emotional Freedom Techniques. site de Gary Craig ——– Mutation de notre ADN et évolution de conscience -article sur de Marc Pantalacci NOUSASSURONS LA REVISION INTEGRALE, SON NETTOYAGE ET SON REGLAGE NOTRE PRESTATION INCLUS : LE DEMONTAGE, LE NETTOYAGE DE TOUTES LES PIECES , LE RHABILLAGE EN JARGON HORLOGER (remontage, graissage et réglage) DE VOTRE HORLOGE LE CONTROLE ET LA CORRECTION DES JEUX, LE CHANGEMENT DES CORDES.
Publié par Le Maître du Temps dans Nos conseils le 12/01/2020 à 1003 C’est quoi, une horloge à balancier ? Une horloge à balancier est une horloge mécanique dans laquelle le régulateur est un balancier ou pendule, constitué d’une tige verticale, qui oscille autour d’un axe horizontal, et qui comporte un contrepoids habituellement un disque bombé en métal lourd à sa base. Le balancier, couplé avec le système d’échappement, permet de maîtriser la libération de l’énergie. Le fonctionnement d’une horloge à balancier Toute horloge mécanique possède trois organes essentiels, qui travaillent selon le principe de fonctionnement suivant Une source d’énergie moteur », qui permet l’entretien du mouvement de rotation ; dans ce cas, il s’agit du contrepoids ; Un échappement relié au balancier ou pendule, qui permet d’empêcher que l’énergie soit libérée d’un seul coup en la cadençant il s’agit là de la partie régulateur ». L’échappement est en général à ancre ; Un cadran avec un affichage et des aiguilles qui pointent sur les graduations, donnent accès à la lecture de l’heure. Lorsque le contrepoids est arrivé en bas, il est nécessaire de le remonter pour que les oscillations recommencent, ce mouvement s’effectue au moyen d’une chaine ou d’une corde. Le remontage d’une horloge à balancier. La plupart des horloges possèdent un, deux ou trois poids, suspendus au bout de chaines. Il n’y a pas d’ordre précis pour remonter les poids. Le remontage est a priori nécessaire tous les 7 ou 8 jours. Il faut tirer doucement sur chacune des chaines qui se trouve à côté d'un poids et pas sur celle qui soutient le poids et observer la remontée du poids, jusqu'à ce que le poids soit remonté jusqu’à sa limite. Il faut ensuite répéter ce mouvement avec les autres poids, chacun possède sa propre chaine de remontage. Lorsque tous les poids sont remontés en position haute, votre horloge est parfaitement remontée.
KHosI.
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